Jahre ablaufenden Allianz zwischen Preussen und Schweden1 angeregt habe. Podewils hat geantwortet: Que Votre Majesté faisait à la vérité tout le cas imaginable de l'amitié de la Suède et qu'Elle était bien résolue de la cultiver soigneusement par tout ce qui dépendrait d'Elle, mais qu'Elle ne voyait pas ce qui pourrait L'engager à faire les premiers pas pour le renouvellement d'alliance susdit, qu'Elle estimait que Son amitié importait à la Suède pour le moins autant et plus, qu'il paraissait qu'Elle ne pourrait jamais compter sur un secours efficace de la part de cette couronne, dans le cas où Elle Se trouverait assaillie de quelquesuns de Ses voisins, vu l'état de faiblesse et d'inanition où la Suède se trouvait réduite; qu'ainsi cette alliance pourrait être fort onéreuse à Votre Majesté et L'embarquer un jour dans les plus grands embarras; que d'ailleurs les motifs qui L'avaient engagée à la contracter, cessaient actuellement, mais qu'au surplus je croyais que Votre Majesté ne serait peut-être pas éloignée de donner les mains à un traité d'alliance à conclure entre Elle et les deux couronnes du Nord ensemble et de concert.“ | wenn man sich in Schweden so gar übel gegen den König und gegen Meine Schwester aufführen werde,2 Ich Mich sehr weit entfernen würde, mit ihnen in Alliance zu treten. |
Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
7423. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE MALTZAHN A DRESDE.
Potsdam, 13 avril 1756.
Vos dépêches du 3 et du 5 de ce mois m'ont été bien rendues, et j'ai trouvé très intéressants tous les avis qu'elles comprennent, surtout par rapport aux affaires de Russie.3 J'avoue que je regarde en quelque façon comme une vraie perte le départ du sieur Funcke,4 mais pour tirer de lui encore tout ce qui est possible, je remets à votre considération s'il y a moyen qu'à son arrivée à Dresde vous lui détachiez par main tierce une personne de confiance et telle dont il ne saurait point se méfier, pour apprendre de lui tout encore ce qui nous reste de savoir par lui, tant à l'égard de la véritable disposition où l'impératrice de Russie et ses ministres se trouvent envers l'Angleterre et envers la cour de Vienne dans la conjoncture présente, qu'au sujet d'un grand conseil que, suivant de bonnes lettres
1 Vergl. S. 161,
2 Vergl. S. 245.
3 Die Mittheilungen Maltzahn's aus einem Berichte Funcke's an Brühl vom 21. Februar sind im Wesentlichen in dem Erlass an Michell (Nr. 7424) wiedergegeben.
4 Vergl. S. 150.