<31> und Patente publiciren lassen, so bin Ich dadurch veranlasset worden, um Dieselbe auf bessere und freundschaftlichere Gedanken zu bringen, einige von Ihren Beamten und Pächtern aufheben und selbige nach Parchim in Arrest bringen zu lassen. Da nun hierüber zwischen Mir und gedachten Herzogs Liebden eine unangenehme Correspondenz entstanden,1 wie Ihr solches aus denen Einschlüssen mit mehrern ersehen werdet, die in dem letztern Schreiben des Herzogs vorgebrachte Entschuldigung in Ansehung des Werbungsverbots aber auf einen blossen juristischen Behelf hinausläuft, anderer darin enthaltener unanständiger Expressionen nicht zu gedenken, so will und befehle Ich Euch hierdurch, dass Ihr des Herzogs Liebden darüber in serieusen Terminis antworten und Ihnen daneben gerade heraus sagen sollet, dass die Loslassung derer arretirten Beamten und Pächter ehender nicht zu hoffen wäre, bis das zeithero geschehene auf eine oder die andere Art redressiret sein, und Sie mit Mir wegen eines billigern und freundschaftlichem Comportements ratione futuri Sich verstanden haben würden.
Friderich.
Nach der Ausfertigung.
7194. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION COMTE DE SOLMS A STOCKHOLM.
Sol ms berichtet, Stockholm 30. December: „Il paraît que le parti de la cour rabat de la fierté qu'il avait adoptée il y a quelques semaines, et ce qu'on pourrait expliquer comme s'il ne se croit pas si sûr de son fait. Ce qu'il y a de certain, c'est que le Sénat ne craint plus certaines menées sourdes dont on parlait beaucoup pendant un temps, et on m'a assuré qu'il a mis des surveillants dans toutes les provinces pour être averti du moindre mouvement qui s'y ferait remarquer. L'inquisition des paysans va toujours son train, et quoiqu'au commencement ils aient nommé le Roi en personne qui les avait instigués,2 ils changent de langage à présent, et on se flatte de découvrir par leur déposition les vrais auteurs de l'émeute qui s'est faite à leur assemblée; peut-être que c'est là une raison pourquoi on remarque présentement plus de retenue dans le parti de la cour.“ | Berlin, 1 janvier 1756. C'est en réponse à votre rapport du 30 de décembre dernier que je veux bien vous dire que je crois encore pouvoir espérer que le roi de Suède voudra bien ne point prendre de parti violent, d'autant plus qu'il pourrait fort bien risquer de ne point réussir par une voie semblable; ce que vous ne manquerez pas d'inspirer doucement à ce Prince, à la première occasion bonne et convenable qui s'y présentera. Federic. |
Nach dem Concept.
1 Diese Correspondenz ist vom 28. December 1753 an gedruckt in Faber, Europ. Staatskanzlei, Bd. 110, S. 134 ff., als Beilage zu dem kaiserl. Commissionsdecret vom 10. April 1756.
2 Vergl. S. 20.