<331> the King of Great Britain. I answered I really did not know what were the King's sentiments upon this affair. The King of Prussia then said : « But what is your own private opinion? » I replied that it seemed to be more for the interest of the Protestant cause in generai as well as for preserving the peace of Germany that the Prince of Hesse should be in the service of His Prussian Majesty rather than in that of Vienna or France. « If you think so », says the King, « I will take him into my service to-morrow. »

Auf Mitchells Bitte, mit der Aufnahme des Prinzen in preussische Dienste zu warten, bis eine genügende Antwort vom britischen Hofe eingelaufen sei, hat der König erwidert: %« I will endeavour to put him off till that time  » …“

Nach den Ausfertigungen im Public Record Office zu London.


7494. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE MALTZAHN A LEIPZIG.

Maltzahn übersendet, Dresden 7. Mai, weitere Auszüge aus der Depesche Flemming's an Brühl vom 21. April:1 „L'Impératrice s'étant dans l'audience [du comte Flemming] beaucoup étendue en plaintes contre Votre Majesté et surtout de ce qu'elle souffrait de sa part par rapport au commerce,2 le comte Flemming a saisi cela pour lui représenter que, comme un Etat ne pouvait que souffrir extrêmement par la gêne et les entraves que l'on donnait au commerce, il espérait que Sa Majesté Impériale consentirait de son côté à s'arranger avec la Saxe sur cet objet, et que, lui étant chargé d'instructions où il y avait bien de la modération de sa cour, il espérait de trouver une facilité égale de la part des ministres de Sa Majesté. A quoi, l'Impératrice a répondu qu'elle savait bien toutes les pertes et dommages que l'interruption du commerce causait à la Bohême, et qu'elle y était sensible, mais que, pour sauver la totalité, il fallait sacrifier souvent une partie; qu'elle ne voulait cependant lui cacher que, vu les difficultés que la cour de Dresde faisait continuellement naître à ce sujet, la négociation ne pouvait guère avancer … L'Impératrice ayant continué … par dire au comte Flemming que la Bavière obtiendrait

Potsdam, 14 mai 1756.

J'ai bien reçu votre dépêche du 7 de ce mois, et les avis qu'elle comprend, m'ont été infiniment instructifs, de sorte que, pour peu qu'ils me continuent par vos soins, je compte de voir parfaitement clair sur tout le dessous des cartes de la cour de Vienne.

J'ai été bien aise de ce que le comte de Brühl a été obligé de reconnaître lui-même la justice des procédés des miens qui ont fait arrêter les chariots de Leipzig qui fraudaient mes péages à leur passage par mon territoire.3 Ce ministre trouverait encore lui-même très injustes, pourvu qu'il y réfléchît avec attention et avec connaissance de cause, les plaintes qu'il a faites envers vous de ce que je n'ai point voulu laisser comprendre la Silésie4 dans la convention qui fait le sujet des conférences de commerce à Halle. Je n'ai jamais refusé que



1 Vergl. Nr. 7492.

2 Vergl. Bd. X, 346. 347.

3 Vergl. S. 299.

4 Vergl. S. 288.