<242>berg and Hanover being upwards of 80 German miles, made it impracticable to send soldiers from thence, especially as they must return again early in the spring, that, as to the taking of troops from the cantonment near Halberstadt, that could not be, they were necessary there; if they had not been so, he would not have withdrawn them from Cleves1 etc. and thereby left a part of his own dominions exposed and naked.
I next acquainted him with the news from Constantinople,2 which gave great pleasure. He approved of acting with caution at that court, for fear of losing Russia, but he hoped that the King's ambassador, who, he said, faisait la pluie et le bon temps là, would not fail to encourage such favourable Symptoms that appeared in the ministers of the Porte, and to improve that jealousy they had so justly conceived upon the bare report of a treaty between France and Vienna.3
The King of Prussia told me that, by the latest account he had from France, they seemed rather to attempt an attack upon Guernsey and Jersey than an invasion of Great-Britain or Ireland,4 for which he thinks they are not now prepared …“
Nach der Ausfertigung im Public Record Office zu London.
7874. AU MINISTRE DE LA GRANDE-BRETAGNE MITCHELL A BERLIN.
[Berlin, 19 août 1756.]
Pour vous répondre, Monsieur, sur les différents points dont vous m'avez parlé aujourd'hui,5 je dois vous dire
1° que, les affaires étant si avancées avec la reine de Hongrie, il faut attendre sa réponse, et que, si elle ne se trouve pas entièrement claire et satisfaisante, je ne puis, sans sacrifier la sûreté de mes Etats et mon honneur même, lui laisser le temps d'exécuter toute la noirceur de ses desseins, et que, sentant bien que cette démarche pourra m'attirer sur les bras une guerre avec la Russie, je m'y suis préparé, d'autant plus que de longue main je m'attendais qu'il en faudrait un jour venir là. Je suis fâché que le roi d'Angleterre n'envisage pas ma situation telle qu'elle est,6 mais après tout ce que la reine de Hongrie a fait, et les insultes qu'elle me prépare, si je lui donne le temps d'arranger ses cartes, j'en atteste le Ciel que je ne connais d'autre moyen de me tirer d'un pas si difficile qu'en la prévenant.
1 Vergl. S. 89. 222.
2 Holdernesse übersendet, Whitehall 6. August (separate), an Mitchell ein Schreiben Porters, des englischen Gesandten in Constantinopel, an Fox, den englischen Staatssecretär für die südlichen Angelegenheiten, d. d. Constantinopel 2. Juli, in welchem Schreiben über die durch den versailler Vertrag veranlasste Beunruhigung der türkischen Machthaber Bericht erstattet wird. [British Museum, London.]
3 Vergl. S. 180.
4 Vergl. S. 212.
5 Vergl. Nr. 7873.
6 Vergl. S. 240 und Nr. 7880.