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qu'il lui semblait, au reste, que Votre Majesté ferait bien de ne prendre aucun parti, avant qu'Elle n'eût suffisamment approfondi les soupçons qu'Elle croyait avoir; qu'une offensive de Sa part envers la maison d'Autriche anéantirait non seulement toutes les garanties qu'on Lui avait accordées pour la Silésie, mais qu'elle La priverait aussi du secours de tous Ses alliés, avec lesquels Elle n'avait que des traités défensifs; que ces deux considérations lui paraissaient mériter l'attention la plus sérieuse et qu'il croyait que Votre Majesté ferait bien de ne pas les perdre de vue.“

mes et ne se radoucissent. En attendant, je ne vois que trop clair par votre dépêche immédiate qu'il faut que le comte de Starhemberg ait fait de nouveau beaucoup de mauvaises insinuations contre moi.

Federic.

Nach dem Concept.


7988. AN DEN GENERALLIEUTENANT PRINZ FERDINAND VON BRAUNSCHWEIG IM LAGER BEI FREIBERG.

[Roth-Schömberg], 6. [September 1756].

Morgen ist ganz nöthig, dass Sie Ruhetag machen; übermorgen, als den 8., wollte ich, dass Sie mit der Infanterie und Husaren zwei Meilen vorwärts nach Pirna zu marschireten. Weder den Marsch, noch den Ort kann ich Ihnen benennen, weilen ich keine Kundschaft davon habe. Ihre Cavallerie werden Sie nach Kesselsdorf schicken, allwo sie zu mir stossen wird. Ob Sie Grillenburg1 rechts oder links lassen, das dependiret einzig und alleine von der Güte des Marsches und wie Sie es zum besten reguliren können. Morgen mache ich auch Rasttag und werde nicht vor dem 8. marschiren. Mein Lager wird ohneweit Kesselsdorf seind, Schmettau werde morgen mit mehrere Nachricht zu Ihnen schicken. Adieu, mon cher, je vous embrasse.

Federic.

Vous me ferez savoir après-demain ou vous serez campé.

Fr.

Nach der Ausfertigung im Kriegsarchiv des Grossen Generalstabs zu Berlin. Eigenhändig in dorso eines Berichts vom 5. September.


7989. AN DEN ETATSMINISTER VON BORCKE IN TORGAU.

Hauptquartier Roth-Schömberg, 6. September 1756.

Ich habe aus Eurem Bericht vom 5. dieses Eure Ankunft zu Torgau 2 und derer übrigen, so hiernächst ein Feldkriegesdirectorium allda constituiren sollen, ganz gerne ersehen, und gebe Euch zuforderst



1 Wohl Klingenberg.

2 Vergl.