die Équipages zurückkommen lassen. Nachher hat sich die Sache zu einigem Accommodement einlenken wollen,1 aber auch dieses hat sich zerschlagen und nach der Zeit scheinen alle Briefe des Königs von Polen mit einer gewissen Fierté gefasset zu sein,2 und verlanget er nunmehro absolument nach Polen gehen zu wollen, wozu des Königs Majestät aber auch nicht schlechterdinges ja sagen, sondern eines mit dem andern abgethan wissen wollen. Inzwischen die Zeit zu weiteren Operationen gegen den Hauptfeind vergehet und endlich dennoch zu der Force wird geschritten werden müssen, nachdem es nunmehro wohl einmal eine ohnmögliche Sache bleibet, dass des Königs Majestät die sächsischen Truppen hinter sich lassen können. Die Zeit leidet nicht, Ew. Excellenz heute ein mehreres zu melden, ich werde aber solches morgen zu thun die Ehre haben und deshalb eine besondere Estafette absenden.3 Eichel. |
Nach der Ausfertigung.
8063. AU DUC RÉGNANT DE BRUNSWICK A BRUNSWICK.
Herzog Karl von Braunschweig schreibt, Braunschweig 11. September: „Mon frère, le prince Louis, en me communiquant l'extrait d'une lettre du lord Holdernesse au ministre anglais à La Haye et la réponse qu'il y a faite touchant le commandement de l'armée4 que Sa Majesté Britannique est intentionnée de rassembler en Allemagne, ce frère, dis-je, ajoute qu'il souhaitait que je fisse parvenir ces pièces à Votre Majesté.5 « C'est à Sa Majesté seule », dît-il, »que je dots l'honneur qu'on m'a fait! aussi m'importe-1-il que Sa Majesté fût fidèlement instruite de la vérité comment la chose s'est faite.“ … J'ajoute encore une bagatelle divertissante, tirée d'une lettre de mon frère le prince Louis, savoir que le comte Golowkin a reçu dernièrement des ordres très sérieux de sa cour de Pétersbourg de chercher à La Haye et en Hollande et de rassembler, coûte qu'il coûte, les cartes les plus exactes du royaume et Etats de Votre Majesté et de les envoyer le plus tôt possible à ladite cour.'
Quartier de Sedlitz, 17 septembre 1756.
Monsieur mon Frère et Cousin. Les lettres de Votre Altesse du 11 de ce mois m'ont été fidèlement rendues, et je Lui sais tout le gré imaginable de Son attention, pour m'informer de tout ce qui paraît être intéressant de parvenir à ma connaissance.
Je La remercie d'ailleurs de la communication confidente de la proposition que le lord Holdernesse a fait faire de la part du Roi son maître au prince Louis, et je suis très sensible à son attention obligeante pour vouloir que j'en fusse instruit, tout comme de la réponse qu'il a faite. Je conviens de la solidité de ses raisons, mais je crois cependant que tout obstacle pour se déclarer sera levé, dès qu'on sera parvenu à prendre des liaisons avec la République pour la défense
1 Vgl. S. 381. 388.
2 Vgl. Nr. 8042. S054. 8059.
3 Vgl. Nr. 8068.
4 Vgl. S. 219.
5 Dem Schreiben des Herzogs von Braunschweig liegen bei: a) Extract of a private letter from the Earl of Holdernesse to Colonel Yorke. August 20th 1756; nebst französischer Uebersetzung dieses Auszugs, b) Lettre du duc Louis de Brunswick au colonel Yorke, ministre d'Angleterre, à La Haye, 31 août 1756.