<568>nisses avertiren wollen, dass die Sachen wegen Russland nicht so gefährlich sein werden, als solche den äusserlichen Anschein haben und wie man es glaubet, und dass solche sich in ein gar weniges borniren werden. Wornach Ihr vor Euch Eure Mesures nehmen könnet. Ich werde Euch davon mit nächstem ein mehreres bekannt machen können.
Friderich.
P. S.
Ihr könnet thun, als ob Ihr Anstalten wegen der Russen machet, doch habt Ihr darüber keine grosse Sorge zu haben.
Nach dem Concept.
8246. AU PRINCE DE PRUSSE A LOBOSITZ.
Hlinay, 21. [october 1756].
Mon cher Frère. Si je peux en avoir le temps, je viendrai demain chez vous, sinon, j'écrirai. Le Maréchal vous dira tout ce que je lui ai écrit. Il faut faire faire beaucoup de patrouilles de cavalerie autour du camp, pour ôter l'envie de la désertion à qui la pourrait prendre. Demain, dès que l'armée sera arrivée ici, je ferai faire toute la nuit des patrouilles circulaires, pour empêcher ce mal, autant qu'il sera en nous. Adieu, mon cher frère, je vous embrasse.
F r.
J'ai envoyé Lengenfeld à Aussig et j'ai ordonné à Kleist de marcher avec son bataillon vers Tetschen, parceque hier Diezelsky n'a point écrit.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.
8247. AU PRINCE FERDINAND DE PRUSSE A PETERSWALDE.
Hlinay, [22 octobre 1756].1
Je suis bien aise de vous savoir à Peterswalde. J'enverrai des chasseurs pour vous conduire ici. En attendant, vous détacherez le bataillon de Schenckendorff pour Aussig, où il restera jusqu'à nouvel ordre. Je ne crois pas que vous arriverez avant trois heures. Prenez bien des précautions contre la désertion. Je m'en vais à Lobositz, et je compte être de retour à temps, pour vous assigner vos postes. Adieu.
Federic.
Nach der Ausfertigung im Kgl. Hausarchiv zu Berlin. Eigenhändig.
1 Obiges Schreiben bildet die Antwort auf ein Schreiben des Prinzen Ferdinand vom 21. October Abends.