7990. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGENAFFAIREN.
Podewils und Finckenstein legen, Berlin 4. September, neue Instructionen für den nach Kopenhagen zurückkehrenden Gesandten von Häseler352-1 zur Allerhöchsten Unterschrift vor. Da der Gesundheitszustand des Gesandten ihm nicht gestatte, dauernd am dänischen Hofe zu bleiben und der augenblickliche Vertreter, der Secretär von Feriet, aus Familienrücksichten um seine Abberufung nachgesucht hat, unterbreiten die Minister dem Könige den Vorschlag, dem Legationsrath von Viereck Feriet's Posten zu übertragen, um unter den Augen Häseler's in Kopenhagen zu arbeiten und ihn dereinst als Gesandten am dänischen Hofe abzulösen. „Mais, comme le sieur de Viereck pourrait difficilement subsister des seuls appointements dont le sieur de Feriet a joui jusqu'ici en qualité de secrétaire d'ambassade, Votre Majesté daignerait peut-être lui accorder en même temps la jouissance des 300 écus qu'il a tirés jusqu'à présent de la caisse de légation.“ | Hauptquartier Roth-Schömberg, 6. September 1756. Das mögen sie disponiren und machen, wie sie wollen; Ich habe jetzo keine Zeit darin zu entriren. Feriet kann zurückkommen, ist ohnedem dumm. |
Podewils und Finckenstein überreichen, Berlin 4. September, ein Schreiben des hannoverschen Geheimraths Präsidenten von Münchhausen an den Grafen Podewils.352-2 … „II y marque … que Sa Majesté Britannique souhaitait fort, d'un côté, que dans le contingent que Votr£ Majesté fournirait [dans le cas que les pays d'Hanovre dussent être envahis par un corps de troupes françaises, pendant le cours de cette année],352-3 il se trouvât pour le moins deux de Ses régiments de dragons, et que, de l'autre, il Lui plût d'accorder le commandement général de l'armée combinée à Monseigneur le prince Ferdinand de Brunswick-Wolfenbüttel.“ | Sie können darüber mit dem von Münchhausen bavardiren; jetzo brauche Ich den Prinz Ferdinand und alles Selbst; Ich muss hier erst fertig sein. |
Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 4. September: „Dans un postscriptum du baron de Münchhausen, qui se trouve également ci-clos, ce ministre fait connaître que le Roi son maître ne manquerait sûrement d'être extrêmement satisfait du contenu de la lettre que Votre Majesté avait bien voulu écrire au Monseigneur le duc régnant de Brunswick- | Sie können nochmals an den Herzog von Braunschweig schreiben. Ich habe ihm auch zu zwei Mal umständlich deshalb geschrieben, und er Mir die Einlage geantwortet.352-4 |
Wolfenbüttel,353-1 pour l'encourager à conclure la convention qui lui a été proposée de la part de l'Angleterre, que cette lettre avait déjà produit l'effet que ce Prince avait fait déclarer préalablement que, dans le cas où les pays d'Hanovre seraient attaqués pendant le cours de cette année, il ne manquerait de voler à leur secours. | |
Le baron de Münchhausen a ajouté …que Sa Majesté pouvait, à la vérité, compter sur un bataillon de 800 hommes des troupes du comte de Schaumbourg-Lippe, aussi bien que sur deux bataillons des troupes de Saxe-Gotha, mais que le landgrave de Hesse-Darmstadt lui avait donné un refus absolu à cet égard, et que jusqu'ici il y avait peu ou point d'espérance d'obtenir quelque secours de la part des cours d'Anspach353-2 et de Würzbourg.“ | Zu Gotha können sie ja, anstatt 2,000, 5 à 6,000 Mann bekommen. |
Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
352-1 Vergl. Bd. XII, 405.
352-2 D. d. Hannover 29. August.
352-3 Vergl. S. 219.
352-4 Der Cabinetssecretär bemerkt in margine: „Nota. Der letztere Brief vom Herzog ist schon vor einigen Tagen übersandt worden.“ Vergl. S. 336.
353-1 Vergl. Nr. 788S.
353-2 Vergl. Bd. XI, 472.