<19>folgen könne, wenn solche, anstatt selbige demjenigen Kaufmann, so sie bisher entrepreniret hat, länger zu überlassen, denen Juden in Pacht gegeben werde, so will Ich, dass Ihr diesen Umstand erwägen und das nöthige darüber weiter besorgen sollet.
Friderich.
Nach dem Concept.
8300. AU CONSEILLER PRIVÉ D'ELLROD A BAIREUTH.
Quartier général de Sedlitz, 6 novembre 1756.
Monsieur d'Ellrod. Comme dans la crise présente mes ennemis font agir tous les ressorts possibles, pour entraîner les cercles de l'Empire dans des mesures offensives contre moi, je ne doute pas qu'ils ne fassent les mêmes efforts auprès du cercle de Franconie. Connaissant donc, comme je fais, votre zèle pour les intérêts de ma maison, aussi bien que vos talents, qui doivent vous procurer une influence si marquée dans les délibérations du Cercle, je me promets de votre prudence que vous les emploierez pour faire adopter au cercle de Franconie le système de neutralité qui est si conforme tant à la sûreté dudit Cercle qu'aux véritables interêts du Margrave votre maître, qui sont toujours inséparables de ceux de ma maison royale. Je m'en remets à cet égard à votre dextérité et je me fais un véritable plaisir d'accompagner la présente lettre d'une petite marque de mon estime et de ma bienveillance pour vous.1
Federic.
Nach dem Concept.2
8301. AU DUC RÉGNANT DE BRUNSWICK A BRUNSWICK.
Sedlitz, 7 novembre 1756.
Monsieur mon Frère et Cousin. Je n'ai pu être que sensiblement touché des sentiments d'amitié et d'attachement que Votre Altesse a bien voulu continuer de me témoigner de la manière la plus affectueuse par Sa lettre du 29 d'octobre dernier.
Je suis entièrement du sentiment de Votre Altesse que la conduite peu mesurée et grossière de la cour de Vienne, par laquelle elle se démasque de plus en plus sur ses vues despotiques contre les États de l'Empire, et la sujétion qu'elle prétend leur imposer, ne sauraient manquer de leur présenter une perspective bien claire sur le sort qu'ils auraient à attendre, au cas que ladite cour devait réussir de m'accabler, moi qui ne fais qu'agir en bon patriote, en défendant les droits et les libertés du Corps Germanique.3
J'ai donc, cela me semble, tout lieu de m'attendre de la part de tous les États de l'Empire qui pensent en bons patriotes d'une manière digne d'eux, et auxquels leur propre conservation est chère, qu'ils vou-
1 Vergl. S. 8.
2 Im Ministerium concipirt in Form eines Handschreibens ohne Contrasignatur.
3 Vergl. S. 1.