<294> du 17 de ce mois de Votre Altesse, et j'en ai été d'autant plus aise qu'elle me confirma toujours ces sentiments de l'amitié la plus véritable qu'Elle continue envers moi. C'est aussi par une parfaite réciprocité de ces sentiments que je me suis bien réjoui de ce que sa négociation1 va s'achever, et il faut rendre la justice audit sieur Mitchell que, dans toutes lettres qu'il me fait, il ne sait pas assez se louer sur les facilités que Votre Altesse y rapporte.
Je remercie bien Votre Altesse des nouvelles intéressantes qu'Elle a bien voulu me communiquer, et ne manquerai pas de faire surtout usage de l'avis qu'Elle me donne à l'égard de celle regardant le duc de Newcastle.2
Quant aux procédés de l'électeur de Cologne,3 il saurait bien arriver un jour qu'il se repentît bien des résolutions qu'il prend à présent inconsidérément, et je ne voudrais point jurer que, pourvu que l'armée d'Hanovre et de ses alliés se rassemble bientôt là où il faudra, et que les succès secondent la justice de notre cause, il n'arrivât qu'il payât les violons.4 J'embrasse encore avec mille plaisirs cette occasion pour assurer à Votre Altesse toute l'étendue des sentiments de considération et de l'amitié la plus cordiale avec lesquels je suis, Monsieur mon Frère et Cousin, de Votre Altesse le très bon frère et cousin
Federic.
Nach dem Concept.
8636. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Eickstedt5 berichtet, Erlangen 13. Februar, der Markgraf von Baireuth habe sich bei ihm für eine im Baireuthischen ansässige Wittwe verwandt, um die Rückzahlung eines von dem sächsischen Staate aufgenommenen Capitals von 19,00x3 Thalern zu erwirken. | Dresden, 20. Februar 1757.. Ministère ihm antworten, der Frau bescheidentlich zu sagen, dass ohnerachtet alles Meines guten Willens es Mir bei denen jetzigen Umständen wohl schlechterdinges ohnmöglich sei, Mich von denen Creditsachen des dresdenschen Hofes zu meliren, da zumalen keine Fonds zu dergleichen vorhanden und vor der Abreise des Ministers alle sächsische Kassen reine ausgeleeret worden. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1 Vergl. S. 278.
2 Diese Nachricht ist wiedergegeben in dem Immediaterlass an Michell vom 21. Februar. Vergl. Nr. 8640.
3 Die Stände des Bisthums Hildesheim hatten ihrem Souverän dem Churfürsten von Köln statt des zum Reichskriege gegen Preussen verlangten Contingents Subsidien in der Höhe von 20,000 Thalern angeboten. Der Herzog von Braunschweig schreibt hierzu: „On croit d'avance que l'Electeur rejettera tout cela, et qu'il restera ferme pour avoir le triple du contingent en hommes.“ Vergl. Nr. 8605.
4 Vergl. S. 283.
5 Vergl. S. 259.