à portée sein, den 9. aber sind sie alle diesseits der Neisse und den 15. alle in der Gegend Schweidnitz und Reichenbach. Von Schweidnitz werde den eigentlichen Tag melden; an Contributions werde gewiss nicht eher gedenken,1 bis alles seine Richtigkeit hat.“ Um weitere Verabredungen für die Vereinigung mit dem Herzoge von Bevern2 zu treffen, bittet Schwerin, dass der Oberstlieutenant von Oelsnitz3 vom Bevern'schen Corps zu ihm nach Schweidnitz entsendet werde. | personnes qui savent notre secret. Pour Dieu, ne différez pas au 18. De cette expédition dépend le salut de l'État, et quand même il y aurait quelques régiments de fatigués, ce n'est pas une affaire. Le prince Bevern est instruit de tout; il faut qu'Œlsnitz reste là; si vous voulez vous concerter en outre avec lui, que cela soit en chiffres. Tout dépend à présent du temps; si vous faites marcher les troupes par Patschkau dans le comté de Glatz, vous gagnez du temps. Mes affaires, celles du prince Maurice et de Bevern sont arrangées, mais chaque moment perdu est un hasard de plus. L'ennemi a ses magasins principaux à Budin, Leitmeritz et Schlan; vous pouvez lui prendre celui de Leitmeritz.4 Si je passe l'Eger entre Laun et Postelberg, vous sachant à Leitmeritz, ce serait bien le diable si je ne lui prends le magasin de Schlan, ou si je ne le force à une retraite honteuse dont on pourra profiter, ou à une bataille à laquelle il n'est pas préparé, et que son projet de campagne est d'éviter. Marchez donc et ne vous embarrassez pas de misères. Si vous manquez de chevaux pour le Feldproviantwesen, prenez-les des paysans, et que les chevaux que Massow livre, leur soient donnés dans la place; en un mot, il faut prévenir ces gens et entrer en Bohême, avant qu'ils campent. Si plaît à Dieu, j'amuserai Browne jusqu'au 15 du côté d'Eger,5 mais cela ne va pas plus loin, et c'est le plus beau moment pour vous; en un mot, chaque moment perdu me met in pericula mortis. Adieu, je vous embrasse, mon cher Maréchal. Federic. |
P. S.
Da Ich auch die Nachricht erhalten habe, dass die 400 Pferde, so Euch der Generallieutenant von Massow liefern muss, erst den 3. und 4. dieses Monates von Berlin abgegangen seind und also, wenn sie ankommen werden, doch so schlecht sein werden, dass Ihr solche doch sobald nicht werdet gebrauchen können, so ist Mein Wille, dass Ihr nur sogleich die Euch noch fehlende Artillerie- und Proviantfuhrwerkspferde von dem Lande ohngesäumt ausschreiben und zusammenbringen lassen sollet, da Ihr dann mit der Kammer es zugleich so arrangiren könnet, dass die ankommenden Pferde dem Landmann nach-
1 Vergl. S. 459.
2 Vergl. S. 457. 473.
3 Vergl. S. 459.
4 Vergl. S. 464. 473.
5 Vergl. S. 472.