nur kämen, soll er sie auf den Hals gehen und jagen sie tüchtig zurücke. Kämen aber 8 oder 10,000 Mann, so müsste er zurücke. Friderich. |
Eigenhändige Weisung für die Antwort: in dorso des Berichts des Erbprinzen.
8870. A MONSIEUR DE CALKŒN, MINISTRE DE LA RÉPUBLIQUE DES PROVINCES-UNIES, A TORGAU.
Lockwitz, 17 avril 1757.
Monsieur de Calkœn. Je viens de recevoir la lettre qu'il vous a plu me faire le 13 de ce mois.1 Je crois que je puis m'exempter de vous donner les plus fortes assurances de l'envie que j'ai et que j'aurai toujours de vous obliger. Mon estime et ma considération pour vous sont trop bien constatées pour souffrir aucun doute, et j'aurais satisfait en même temps au désir que j'ai de vous faire plaisir, et à mon inclination à la clémence, si je pouvais déférer à votre intercession. L'humanité vous a fait agir, j'en suis convaincu, mais j'espère aussi de votre justice que vous conviendrez que ma propre sûreté et celle de mes affaires m'obligent d'user d'une sévérité qui certainement ne m'est point naturelle, et à laquelle les machinations de mes ennemis me forcent.
Je suis donc véritablement fâché que, pour cette fois-ci, je ne puis vous témoigner tout le cas que je fais de votre intercession comme une suite de mon estime parfaite pour vous.
Federic.
Nach dem Concept.
8871. UNTERREDUNGEN DES KÖNIGS MIT DEM GROSSBRITANNISCHEN MINISTER MITCHELL.
[Lockwitz, 18. April 1757.]
Mitchell schreibt, Dresden 19. April, an den Herzog von Cumberland: „Sir. Since I had the honour of writing to Your Royal Highness by the messenger dispatched last Friday, I have seen His Prussian Majesty twice; but it was only yesterday that he opened himself to me for the plan of operations for the ensuing campaign, of which I shall endeavour to give Your Royal Highness an account, after premising some things necessary to be known, as Your Royal Highness may not have seen my latest letter to the Earl of Holdernesse.“
Es folgt eine Erzählung der Unternehmungen des Herzogs von Bevern gegen Friedland2 und des Corps unter dem Prinzen von Preussen und Keith gegen Neustadt,3 eines Verstosses des Prinzen Moritz gegen Eger4 und eines gleichen des Prinzen Heinrich gegen Hainspach.5
1 Calkœn hatte in einem Schreiben, d, d. Torgau 13. April, zu Gunsten des verhafteten Grafen Wackerbarth (vergl. S. 480. 500) sich verwendet.
2 Vergl. S. 375. 376.
3 Vergl. S. 473.
4 Vergl. S. 506. 516.
5 Vergl. S. 505. 519.