8907. A LA REINE-MÈRE A BERLIN.
[Au camp de Prague, mai 1757.]
Mes frères et moi, nous nous portons encore bien. Toute la campagne risque d'être perdue pour les Autrichiens, et je me trouve libre avec 150,000 hommes. Ajoutez à cela que nous sommes maîtres d'un royaume qui est obligé de nous fournir des troupes et de l'argent. Les Autrichiens sont dispersés comme de la paille au vent. J'enverrai une partie de mes troupes pour complimenter Messieurs les Français, et je vais poursuivre les Autrichiens avec le reste de mon armée, etc.
Federic.
Nach dem Abdruck in den „Œuvres diverses“ , Bd. III vom Jahre 1761. Ein handschriftlicher Text liegt nicht vor.