9259. AU PRINCE DE PRUSSE A DRESDE.
[Weissenberg,] 7 [août 1757].
Je ne réponds point à votre lettre,289-4 mon cher Frère, parceque la tête vous tourne, et que je crois que vous l'avez écrite dans un transport de fièvre chaude. Je suis votre fidèle frère et serviteur
Federic.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.
<290>289-4 Das Schreiben des Prinzen fehlt. Vergl. S. 281. Anm. 1; 297. Anm. 3. Eichel schreibt am 5. August an Finckenstein: „Wie ich höre, so haben des Prinz von Preussen Hoheit an des Königs Majestät gestern oder ehegestern geschrieben, um die Permission zu haben, von hier nach Berlin zu gehen.“