<190>ment von Erbprinz Cassel,1 dass solches nach Halberstadt marschiren und also zu denen bereits da stehenden 4 Bataillons stossen soll. Da alsdenn 6 Bataillons dort stehen werden, auch überdem das Leibregiment zu Pferde dorten ist, so werde Ich gerne sehen, wenn alsdenn diese Regimenter einmal vorrücken und ohnvermuthet etwas auf ein oder anderes derer französischen Quartiere im Braunschweigschen entrepreniren werden, es sei nun, solches zu enleviren oder doch denen dasigen französischen Truppen eine Niche und Schabernack zu machen, es sei auch solches, so klein es wolle. Ew. Liebden können allenfalls auch den Obristen von Tauentzien2 dahin beordern, der alles dazu disponiren und dirigiren müsste, damit Ich Meinen Zweck darunter erhalte, da es denen dortigen Generals an der desfalls erforderlichen Vivacité und prompter guter Disposition fehlen möchte. Ich überlasse alles dieses Ew. Liebden guten Besorgung und bin Ew. Liebden freundwilliger Bruder
Friderich.
Nach dem Concept.
9713. A LA MARGRAVE DE BAIREUTH A BAIREUTH.
Breslau, 21 [janvier 1758].
Ma très chère Sœur. En vérité, ma chère sœur, vous êtes ma seule consolation; quel bonheur d'être aimé de vous, et quels agréments que de recevoir de vos lettres! Ce sont des baumes qui guérissent toutes les plaies que mes ennemis me font.
Nous n'avons pas encore Schweidnitz, mais la place tombera entre ci et le mois de mars. Nos ennemis font tous les préparatifs pour la campagne prochaine; mais je me flatte que ce sera la dernière, car, en vérité, ce métier est insoutenable à la longue.
Les Français ont avancé du côté de Brême un corps de 7000 hommes, qui a été à moitié détruit par les Hanovriens. Cela commence à prendre forme, il faut espérer que les grands coups seront frappés avec un égal bonheur.
J'attends ma sœur Amélie demain ici; j'ai ici mes deux nièces de Schwedt, et nous prenons du bon temps.
Mon frère Ferdinand est à présent tout-à-fait mieux, il commence à se lever; c'est toutefois une inquiétude de moins. Adieu, ma chère sœur, je vous embrasse tendrement, vous priant de me croire avec la plus parfaite tendresse, ma très chère sœur, votre très fidèle frère et serviteur
Federic.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.
1 Befehl, d. d. Breslau 21. Januar, an den Erbprinzen in Magdeburg, sein Regiment nach Halberstadt zu senden und den Commandeur des Regiments an die Befehle des Prinzen Heinrich zu verweisen. [Ausfertigung im Kgl. Staatsarchiv zu Marburg.]
2 Vergl. S. 90.