„Quant au Prince héréditaire de Hesse-Cassel, le général Donop soumet aux lumières supérieures de Votre Majesté si Elle ne jugerait pas convenable de lui en parler avec quelque bonté, comme d'une chose qu'Elle souhaitait pour ses propres intérêts à venir, et qui Lui paraissait de sa dignité en qualité d'héritier présomptif; et il m'a dit que, le connaissant comme il faisait, il était persuadé que Votre Majesté en pourrait faire tout ce qu'Elle voudrait, puisqu'il savait qu'il La craignait, et qu'il serait sûrement très sensible à tout ce qui lui paraîtrait une marque de bonté et d'amitié de la part de Votre Majesté. Il croit aussi qu'on pourrait se servir avec succès du décret que le Conseil Aulique vient de publier contre lui, pour l'animer contre la cour de Vienne.“ Donop hat ferner den Wunsch geäussert, dass dem Prinzen ein gewisser Officier aus Hessen beigegeben werde, der mit ihm befreundet sei, und durch dessen Vermittlung man die nothwendigen Vorstellungen dem Prinzen zukommen lassen könne. | spondance là-dessus avec le duc régnant de Brunswick en mon nom, pour le rassurer contre toute faiblesse et lui ôter de l'esprit toutes les appréhensions qu'il a conçues. Aussi, conformément aux désirs du roi d'Angleterre, vous vous joindrez à ce qu'il a entrepris moyennant la mission du sieur de Behr, pour tâcher de conserver le Duc dans son attachement à la bonne cause, et ferez en mon nom toutes les démarches pour concourir au même but. Federic. |
Nach der Ausfertigung.
10357. AN DEN ETATSMINISTER FREIHERRN VON SCHLABRENDORFF IN BRESLAU.
Schönfeld, 23. September 1758.
Dass so viel den [Vorschlag] wegen der von denen Oestreichern im Neuen Graben1 weggenommenen Schiffe mit Breslauer Kaufmannsgütern anbetrifft,2 Ich alle Ursache zu muthmaassen und zu glauben habe, dass endlich durch dieses an sich sonst unerlaubte und wider alle Kriegesregeln laufende Verfahren derer Oestreicher der Breslauschen Kaufmannschaft endlich einmal die Augen über die Absichten der Oestreicher, und wie schlecht dieselbe es mit ihr meinen, aufgehen und sie mithin von ihrem Penchant gegen die Oestreicher und der Blusion, was letztere vor Consideration vor sie hätten, werden abgebracht, dahergegen [wider] solche werden sehr irritiret werden. Aus welcher Ursache Ich denn auch noch zur Zeit Anstand nehme, auf Euern Vorschlag etwas zu veranlassen.
Friderich.
Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.
1 Vergl. S. 183. Anm. 5.
2 Die Breslauer Kaufmannschaft hatte gebeten, der König möge an Daun eine Beschwerde richten und Schadloshaltung der Kaufleute verlangen lassen.