10450. AU PRINCE HENRI DE PRUSSE.
[Doberschütz,] 20 [octobre 1758].
Mon cher Frère. Quoique votre arrivée soit aussi nécessaire qu'agréable, je crois cependant devoir vous dire qu'il est nécessaire que vous arriviez avec tout le corps, et que peut-être, s'il est nécessaire, je vous enverrai de la cavalerie au devant. Vous pouvez marcher droit sur Bautzen et y faire cantonner toutes les troupes, aux hussards près. Adieu, cher frère, je vous embrasse.
Federic.
A 4 heures du matin.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.