11724. AU PRINCE HENRI DE PRUSSE.
31 [décembre730-4 1759].
Mon cher Frère. Nous sommes plus heureux que sages. Dippoldiswalde est abandonné, mes patrouilles vont déjà sur la hauteur; je ne puis rien vous dire du reste, car voilà la première chose que j'apprends. Dès que j'en saurai davantage, vous en serez instruit. Veuille le Ciel nous seconder! nous en avons le plus grand besoin.
Adieu, cher frère; l'espérance commence à renaître, et je commence à cette heure à penser que ceci finira incessamment.
Je suis avec la plus vive tendresse, mon cher frère, votre fidèle frère et serviteur
Federic.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.
<731>730-4 Vom 31. December ein Schreiben an d'Argens in den Œuvres, Bd. 19, S. 114.