<135> tout comme j'ai donné mes ordres au général de Fouqué d'agir de la même façon de l'autre côté.1

Quant à la négociation de paix avec la France, je ne vous saurais rien marquer au delà de ce que je vous ai déjà mandé dans mes lettres antérieures, et il faut bien que j'attende le succès de la nouvelle démarche que j'ai faite,2 et dont j'ai fait informer amplement le baron Knyphausen.3

Je vous ai fait communiquer hier en original l'ample et très intéressante dépêche que le nommé Rexin m'a faite en dernier lieu,4 et que j'espère que vous aurez lue déjà in extenso. Comme je lui ai fait répondre déjà et instruit sur tout ce qui lui saura être nécessaire, pour parvenir au plus tôt à la conclusion, je vous fais communiquer en chiffres la copie de la dépêche que je viens de faire passer au baron Knyphausen pour l'instruire à ce sujet,5 pour vous informer préalablement en précis de quoi il s'agit dans ma réponse au sieur Rexin.

Tout ceci ne sont que les commencements de mes pronostics, et je crains bien que l'évènement ne me justifie que suffisamment.

Federic.

Nach der Ausfertigung. Der Zusatz eigenhändig.


11868. AN DEN GENERAL DER INFANTERIE HERZOG VON BRAUNSCHWEIG-BEVERN, GOUVERNEUR VON STETTIN.

Freiberg, 26. Februar 1760.

Ew. Liebden Verlangen an Mich wegen Dero Erlassung aus Meinen Kriegesdiensten habe Ich zwar aus Dero Schreiben vom 15. dieses mit mehrern ersehen; wie aber Dieselbe bei näherer Ueberlegung Selbst ermessen werden, dass in jetzigen Umständen und, da sich bereits alles zu einer frühzeitigen und vielleicht nächstens wirklich anzufangenden Campagne anschicket, es wohl nicht von der Zeit sein dörfte, nunmehro noch an eine Dimission zu gedenken, vielmehr es allenfalls damit dem Wohlstande gemäss bis nach geendigter diesjährigen Campagne anstehen zu lassen, so zweifele nicht, dass Ew. Liebden vorerst dieses Gesuch um so mehr werden fallen lassen, da nach denen anscheinenden Conjoncturen es dahin kommen könnte, dass die Deroselben von so langer Zeit her anvertrauete Festung risquirete belagert zu werden, und es mithin von sehr übeler Grâce sein würde, wann Ew. Liebden selbige nunmehro gegen solche Zeit verlassen und weggehen wollten.

Friderich.

Nach dem Concept.



1 Vergl. Nr. 11864.

2 Vergl. s. 103—112.

3 Vergl. Nr. 11840.

4 Vergl. Nr. 11863. Das obige zweite Schreiben an Finckenstein vom 25. Februar scheint danach erst am 26. expedirt zu sein.

5 Nr. 11 862.