<273>möglich was rechtes wird unternehmen können; wie denn auch die Russen ihres Ortes in Preussen vor Anfang des Monates Junii sich nicht werden in Marsch setzen können.

Friderich.

Nach der Ausfertigung.


12012. AU SECRÉTAIRE VON DER HELLEN A LA HAYE.

Hellen berichtet, Haag S. April, Yorke habe nach erhaltener Instruction eine neue Unterredung mit dem französischen Gesandten gehabt, „à qui il a dicté la fin de la dépêche de sa cour où elle lui ordonne en substance : « que Sa Majesté Britannique persistait toujours dans son envie d'éviter tonte effusion ultérieure du sang chrétien; qu'elle était prête de déclarer à la France les conditions auxquelles elle voudrait sa paix; qu'elle admettait même un émissaire secret à Londres pour cet effet de la manière proposée, pourvu que la France voulût sérieusement la paix de son côté; qu'elle voulut l'autoriser dûment pour cet effet, et que toute personne que la France voudrait charger de cette commission, serait agréable au roi d'Angleterre, pourvu que ce ne soit pas un de ses propres sujets, qu'elle n'admettrait, et que d'ailleurs la France voulût permettre et agréer eventuellement que, supposé qu'on pût parvenir à un accommodement, tous les alliés de l'Angleterre en général et nommément Votre Majesté fussent compris dans cette négociation; que Sa Majesté Britannique ne voulait non seulement tant faire que d'écouter aucune proposition, où il ne fût compris lui-même comme électeur de Hanovre. »“

Affry hat geantwortet, dass diese Eröffnung dem Versailler Hofe grosse Freude bereiten, und dass er noch am selben Abend einen Courier mit der englischen Erklärung absenden werde.

Freiberg, 16 avril 1760.

J'ai été fort content de l'exactitude avec laquelle vous m'avez communiqué par votre rapport du 8 de ce mois ce qui s'est passé ultérieurement entre le général Yorke et le comte d'Affry relativement à l'ouvrage de la paix. Il me semble cependant toujours que cette négociation est encore assez éloignée à prendre couleur et qu'elle n'est encore rien moins qu'avancée.

Federic.

Nach dem Concept.


12013. AN DEN GENERAL DER INFANTERIE BARON DE LA MOTTE-FOUQUÉ.

Freiberg, 17. April 1760.

Ich habe erhalten, was Ihr Mir unterm 14. dieses berichten wollen, und bin Ich davon zufrieden; nur aber ist es nicht gut, dass Ihr die Brücke bei Christianstadt abwerfen lassen, indem dasjenige von Truppen, so von uns zu Euch marschiret, da herüber gehen muss, und müsset Ihr also solche nur wieder herstellen lassen. Uebrigens so werdet Ihr anjetzo nur immer anfangen müssen, mit Meinem Bruder, dem Prinzen Heinrich, zu correspondiren, indem derselbe mit seinem Corps d'armée nach Eurer Seite sich hinziehet.