<46> cru convenable pour contribuer à accélérer une bonne et honorable paix. Il faudra voir à présent si cela sera béni d'un succès heureux, comme je le désire. Ce qui est certain, c'est que la cour de Vienne ne voudra point avoir la paix, mais, quand nous réussirons avec la France pour parvenir à une paix séparée avec l'Angleterre et nous autres, alors j'ai lieu d'espérer que le reste ira bien pour nous et le coup sera terrassant pour les Autrichiens, quand ils sentiront que la France les abandonne, en faisant sa paix séparée avec nous.

Federic.

Nach der Ausfertigung.


11781. AU LIEUTENANT-COLONEL D'O, VICE-COMMANDANT A GLATZ.

Freiberg, 25 janvier 1760.

Der König dankt für die ihm, Glatz 20. Januar, eingesandten Nachrichten.

Au reste, comme le général Fouqué passe lui-même dans la Basse-Silésie, pour y commander sur les frontières, aux environs de Lauban et ailleurs où il sera besoin, j'ai bien voulu vous en avertir, afin que vous lui adressiez dorénavant vos rapports avec toutes les nouvelles et avis que, sans cela, vous m'auriez adressés à moi.

Federic.

Nach der Ausfertigung im Kaiserl. und Königl. Kriegsarchiv zu Wien.


11782. AU LORD MARÉCHAL D'ÉCOSSE.

Freiberg, 25 janvier 1760.

Der Eingang des Schreibens handelt über einen von Lord Marschall erbetenen neuen Chiffre.

D'ailleurs, tout ce que [je] désire de savoir à présent principalement de vous, c'est1 que vous m'informez exactement si la nouvelle cour penche plutôt pour la France ou pour l'Angleterre, et si elle paraît avoir des liaisons avec la cour de Vienne pour lui fournir des secours ou de prêts pécuniaires.

Fededric.

Nach dem Concept.


11783. AU GÉNÉRAL DE L'INFANTERIE BARON DE LA MOTTE-FOUQUÉ.

Freiberg, 26 janvier 1760.

J'ai reçu la lettre que vous m'avez faite du 21 de ce mois, dont j'ai appris avec compassion que vous vous êtes ressenti d'une douloureuse sciatique, laquelle, cependant, à ce que j'espère, sera passée et vous parfaitement rétabli à présent.



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