11970. AU BARON DE BIELFELD A HAMBURG.
Der Kammerherr Baron von Bielfeld berichtet, Hamburg 28. März, der nach Russland bestimmte Emissär232-2 sei am 22. abgereist; da aus Lübeck vor Ende Mai kein Schiff abgehe, so habe er den Weg über Dänemark und Schweden gewählt. „II s'était répandu un bruit que le crédit de la famille des Schuwalow avait furieusement baissé; mais, comme les dernières lettres de Russie démentent cette nouvelle, la personne en question fera tous ses efforts et emploiera au besoin | Freiberg, 3 avril 1760. La lettre que vous m'avez écrite du 28 de mars, m'est bien parvenue, et j'ai été bien aise de vos soins, pour m'informer de ces détails qu'elle comprend. Je vous sais gré d'ailleurs de la nouvelle marque que vous venez me prouver de votre fidélité et de votre attachement zélé, en ne faisant même attention à l'offre séduisante |
les plus grosses couches pour gagner le favori, conformément aux intentions de Votre Majesté.“ Bielfeld hofft auf einen günstigen Ausgang der Sendung, wenn sich England mit Frankreich verständige, denn man sei in Petersburg weit weniger „bon autrichien“ als „bon français“ . „J'ai été fort surpris ces jours passés. La comtesse de Bentinck, avec laquelle je n'avais pas eu la moindre correspondance depuis bien des années, m'a écrit de la part du comte de Kaunitz, pour me proposer de venir à Vienne où l'on souhaite que je fisse à l'archiduc Joseph un cours de politique sur les Institutions que je viens de publier. Cette proposition est assaisonnée de tout ce qui peut la rendre éblouissante. J'ai répondu que je ne croyais pas pouvoir faire un pas sans l'agrément de Votre Majesté, ayant l'honneur de Lui être attaché par toutes sortes de liens et surtout par ceux de la reconnaissance.“ | qui vient de vous être faite d'une personne dont vous devez connaître le mauvais cœur et la noire ingratitude; aussi aurez-vous pu aisément vous représenter combien une conduite contraire de votre part m'aurait été désagréable et, si vous serez capable de vous prêter à une chose qui, à plus d'un égard, aurait fait rougir pour vous toutes les honnêtes gens et flétrir votre bonne réputation. Soyez, du reste, assuré de ma reconnaissance des témoignages du zèle et de la fidélité que vous me faites sentir, et des marques réelles que je vous en donnerai, dès que la situation de mes affaires me permettra de vous en prouver l'effet. Federic. |
Nach dem Concept.
232-2 Pechlin. Vergl. Nr. 11926.