„<204>Se. Königl. Majestät sähen, einige Avantage dadurch zu bekommen, oder die Kaiserin dadurch sich völlig affectioniret zu machen, Sie wegen gedachten Ordens gerne entirenwürden .... Sonsten seind des Königs Majestät der Meinung, dass gedachter Herr von Mardefeld bereits sofort von dem getroffenen Frieden mit der Königin von Hungarn en secret zu avertiren sein würde, nicht sowohl um dorten etwas davon zu publiciren, sondern nur damit er seine Mesures darnach nehme“ ...
Eichel.
Auszug aus der Ausfertigung.
897. AU ROI DE POLOGNE A DRESDE.
Camp de Kuttenberg, 17 juin 1742.
Monsieur mon Frère et Cousin. Votre Majesté aura dû voir par toute ma conduite avec quel zèle j'ai travaillé pour l'avantage de mes alliés, jusque même à me vaincre souvent sur des démarches de leur part qui devaient, sinon me refroidir, au moins me rebuter. Après le départ de Ses troupes, j'ai tenu constamment la campagne en Haute-Silésie et Bohême, j'ai même risqué le sort d'une bataille, pour l'intérêt de cette cause qui m'était si chère, mais j'ai eu le désagrément de voir que les Français, bien loin de profiter de mes avantages, en ont perdu le fruit par leur mauvaise retraite. Dans ce temps je devais me persuader que l'armée de Votre Majesté courrait au secours du maréchal de Broglie et lui faciliterait par cette jonction le moyen de battre les Autrichiens. A présent, par la position du prince Charles, les Français sont coupés de leurs recrues et de leur communication de la Bavière, trop faibles pour se soutenir eux-mêmes. Les troupes de Votre Majesté, qui restent d'un autre côté dans l'inaction, me mettent dans la nécessité de pourvoir à ma propre sûreté. Je n'ai rien à me reprocher vers mes alliés. S'ils avaient tous agi avec autant de volonté et de vigueur que mes troupes, non seulement la conquête de la Bohême, mais aussi de l'Autriche serait achevée. Après tout, on n'est point tenu à l'impossible, et si de mon côté mes services n'ont pas eu tout le succès qu'on devait s'en attendre, c'est assurément que je n'ai point été secondé, et jamais faute d'un véritable désir de ma part de contribuer à la satisfaction et contentement de mes alliés. Je suis avec tous les sentiments d'une parfaite estime, Monsieur mon Frère et Cousin, de Votre Majesté le très bon frère et fidèle allié
Federic.
Nach Abschrift der Cabinetskanzleï.