<275>occupée en Flandre comme elle l'est, et comme elle le serait bien davantage si la Reine fait sa paix avec la France — je dis que l'Angleterre, en ce cas, ne nous sera d'aucune utilité, et que peut-être la Saxe serait fort aise de se joindre aux Autrichiens pour nous entamer de tous les côtés, et que peut-être à Vienne on se flatte de pouvoir entraîner la Russie dans ce plan.
Voici un concetti, mais dans Un siècle aussi extraordinaire que le nôtre, aucun événement ne doit paraître impossible, et il vaut mieux y être préparé que de se trouver surpris. Mandez-moi ce que vous pensez de tout ceci, et dites-moi naturellement votre sentiment. H est toujours bon d'être au qui vive, pour ne point perdre par l'indolence ce que l'on a gagné par l'activité.
Adieu, je serai le 2 ou le 3 d'octobre à Berlin.
Je suis avec bien de l'estime votre affectionné ami
Federic.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.
985. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Andrié berichtet, London 14. September: Carteret hat von den Intriguen Frankreichs in Stockholm für die Wahl des Herzogs von Holstein zum schwedischen Thronfolger gesprochen, und gefragt, ob der König von Preussen im Interesse der protestantischen Sache nicht die Bewerbung des Prinzen Friedrich von Hessen-Kassel begünstigen werde. | Brieg, 27. September 1742. Ich könnte Mich von der schwedischen Wahlsache nicht wohl weder in schwarz noch in weiss mehren, und hielte das beste zu sein, dass man dem Reiche Schweden eine freie Wahl liesse. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
986. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Mardefeid berichtet, Moskau 13. September : „Le sieur Wich m'a communiqué les ordres qu'il a reçus de vivre avec moi en parfaite union et confidemment, et de concerter avec moi de quelle manière nous pourrions nous y prendre pour inviter l'Impératrice à accéder au traité,1 et qu'il me priait de supplier Votre Majesté de m'envoyer, comme partie principale contractante, des ordres dans quelles formes nous devions faire cette invitation.“ | Berlin, 3. October 1742. Sehr gut, man muss ihm ein ordentliches Project aufsetzen, den Tractat commumciren und die Garantie über solchen mit verlangen. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1 Der Breslauer Frieden.