<289>Majesté Impériale sera persuadée de la pureté des sentiments que j'aurai toute ma vie pour Elle, et de la part sincère que je prends à tout ce qui regarde Ses intérêts. Aussi souhaiterais-je d'y pouvoir contribuer plus par des effets que par des paroles. J'en entretiendrai souvent le sieur de La Rosée, dont la personne, comme tout ce qui me vient de la part de Votre Majesté Impériale, m'est trop agréable pour ne pas lui donner des marques de mon estime et de ma confiance pendant le séjour qu'il fera à ma cour, et je La prie de croire qu'on ne saurait être avec plus d'attachement, de considération et d'estime que je suis etc.

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


1005. AU DÉPARTEMENT DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES.

Podewils und Borcke berichten, Berlin 10. November, über ein Ansuchen des Bischofs von Lüttich um preussische-Fürsprache, damit die Truppen des Königs von England ihre Winterquartiere nicht in seinen Stiftslanden nehmen. Nach der Meinung der Minister wäre zu antworten, der Bischof möge sich direct an den König von England wenden, da Preussen wegen seiner Neutralität sich nicht in die Angelegenheit mischen könne.

Non, on peut fort bien écrire en sa faveur, d'autant plus qu'il est contre lés constitutions de l'Empire que des troupes à la solde d'une puissance étrangère y prennent des quartiers.1

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.


1006. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Hoffmann berichtet, Warschau 3. November : In Folge von Vorstellungen der preussischen Gesandtschaft in Dresden lässt jetzt der Hof die Gerüchte von einem preussischen Anschlage auf Polnisch-Preussen2 dementiren. „Les Saxons sont d'humeur de croire que peut-être quelquesuns de nos officiers ou soldats, en revenant de Silésie et passant par la Prusse polonaise, auraient pu donner occasion d'une pareille nouvelle par des discours indiscrets.“

Potsdam, 11. November 1742.

Er hätte sie gar, leicht desabusiren können, wenn er ihnen gesaget hätte, dass Ich bei dergleichen Vorhaben der ganzen Armee keine Confidence gemachet haben würde.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



1 Vergl. S. 293.

2 Vergl. oben Nr. 983 S. 274.