<301>

1022. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN

O. Podewils berichtet, Haag 7. December: Man versichert mit Bestimmtheit „que les troupes à la solde de l'Angleterre ne bougeront point des quartiers où elles sont, et que les officiers et soldats refusaient assez hautement de se mettre en marche. .... Trevor me témoigna, dans une conversation que j'eus hier avec lui à ce sujet, qu'il était fâché de ce qu'on avait fait tant de bruit de cette marche; qu'il avait prévu, ce qui arrivait présentement, que le soldat anglais était trop délicat pour soutenir les fatigues d'une marche aussi rude.“

Berlin, 12. December 1742.

Des Königs Majestät haben occasione einliegender Relation befohlen dass, wenn der Marsch der österreichischen, englischen und hessischen Truppen nach Teutschland nicht vor sich ginge, also auch das gestrige Rescript an Andrié nebst der respectiven Declaration nicht abgehen noch geschehen dörfe, um keinen Allarm ohne Noth noch Ursach zu machen.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


1023. AU DEPARTEMENT DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES.

Podewils und Borcke berichten, Berlin 12. December : Von englischer Seite wünscht man, dass die Verhandlungen wegen der in Aussicht genommenen Convention zwischen Preussen und Hannover in London stattfinden. „Il parait quasi que lord Carteret, qui dans le fond parait bien intentionné, se défie de la docilité du ministère d'Hanovre et qu'il craint leur esprit de chicane.“

Berlin, 13 décembre 1742.

Bon.1

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


1024. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Andrié berichtet, London 4. December: „Milord Carteret m'a informé qu'afin que les troupes [anglaises et hessoises en Flandre} fussent d'un secours plus efficace à la cour de Vienne, Sa Majesté Britannique avait pris le parti de les laisser entièrement, sur le pied d'auxiliaires, à la disposition de la reine de Hongrie ... que lesdites troupes faisaient déjà quelques mouvements en Flandre en conformité, mais qu'il ne pouvait pas

Berlin, 16. December 1742.

Es wird gut sein, dass Andrié eine kurze und polie Declaration wegen des Marsches der Truppen nach Teutschland des ohngefährlichen Einhalts thut : Der König von Engelland möchte beherzigen, dass, wenn man Truppen nach Teutschland marschiren lassen



1 Am 3. Februar 1743 erhielt Andrié eine ausführliche Instruction für die Verhandlung.