1100. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Berlin, 4. April 1743.
Wegen der Pacificationssache soll Andrié sich nicht gar sehr empressiren, sondern nöthigenfalls nur sagen, wir würden den Plan erwarten, welchen das englische Ministerium uns schicken würde.
Mündlche Resolution auf Bericht Andrié's, London 22. März. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1101. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Heusinger berichtet, Kopenhagen 30. März: „Le baron de Korff, envoyé de Russie, est venu avant-hier me dire qu'il se sentait obligé de me faire part d'une découverte qu'il venait de faire. Il savait, me dit-il, de très bonne part que la cour de Danemark avait donné tout nouvellement des ordres à son ministre à Francfort, Bernstorff, d'insinuer aux États de l'Empire qu'il était nécessaire qu'on prenne des mesures contre le despotisme de Votre Majesté. Il m'assura que c'étaient les propres termes de cet ordre; que je pouvais le mander positivement à Votre Majesté et le nommer même mon auteur.“ | Potsdam, 6. April 1743. Man muss den Einhalt an den p. von Klinggräffen communiciren und ihm aufgeben, sich nach der Instruction des dänischen Ministers zu Frankfurt genau zu erkundigen und wohl Acht zu haben, ob derselbe sich dergleichen als der p. von Korff anzeigen wollen, äussern lässet. Ich glaube es zwar nicht, dass der dänische Hof, zumalen in denen jetzigen critiquen Umständen sich so vergessen sollte; da aber der p. von Korff es mit so vieler Assurance gesaget, so soll der p. von Klinggräffen sich alle Mühe in der Welt geben, um auf den rechten Grund zu kommen. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1102. AU LIEUTENANT-GÉNÉRAL COMTE DE DOHNA A VIENNE.
Berlin, 6 avril 1743.
Ayant fait sonder le comte de Brühl sur le traité qu'on a cru être conclu, ou du moins prêt à l'être, entre la cour de Saxe et l'Angleterre, il a assuré positivement mon ministre à Dresde, le comte de Beess, que jusqu'ici on n'avait point mis seulement la main à la plume pour tracer un traité semblable, et qu'il n'y avait aucune apparence non plus qu'il eût lieu, puisque la reine de Hongrie ne voulait pas entendre à une cession de quelques cercles de la Bohême en faveur du roi de Pologne.