<455>nécessité et dans l'espèce d'indigence où il se trouve, qu'il les refusât à un ami généreux qui les lui voulait bien donner.
Federic.
H. Comte de Podewils. C. W. Borcke.
Nach der Ausfertigung.
1237. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Dohna berichtet, Wien 16. October, über eine Conferenz mit Graf Ulfeld: „Quant à la dépêche du 8,1 il a dit qu'il en ferait rapport à la Reine, et m'informerait aussi de sa réponse, quoiqu'il pourrait presque prendre sur lui de la donner. Qu'il était bien douleureux pour la Reine qu'après la vigueur avec laquelle l'on n'avait point discontinué de la traiter, l'on voulût encore lui couper la seule consolation et moyen qui lui restait, qui était la protestation pour parvenir à ses sûretés“ etc. | Berlin, 23. October 1743. Der Etatsminister Graf Podewils soll den Generallieutenant Graf Dohna ausführlich und wohl instruiren, was derselbe auf alles vorstehende zu antworten hat.2 Ich habe die Königin nicht hindern wollen, was zur Dictatur zu geben, aber die Methode und die Art, mit welcher es geschehen, kann Ich nicht gut heissen, da sie wider die Reichsverfassung und wider die Ehre des Kaisers und des Reichs laufet, welches der Königin selbst mehr Schaden als Vortheil bringen muss. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1238. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 24. October, dass Valory in Betreff der ihm anfangs des Monats gemachten Eröffnungen 3 noch keine Weisungen von seinem Hofe erhalten hat. „Je crois que moins on témoignera de l'empressement de notre côté, mieux cela ira, puisqn'à en juger par les discours que Valory m'a tenus, on s'imagine en France que Votre Majesté a besoin de cette couronne, et qu'on n'a qu'à nous voir venir .... S'ils ne répondent pas comme il faut, .... ce sera une marque sûre qu'ils veulent tirer leur épingle du jeu, à quelque prix que cela soit.“ | Potsdam, 25. October 1743. Es ist auch Meine Intention gar nicht, weder Valory noch die Franzosen deshalb zu pressiren, sondern Ich will sie vielmehr kommen sehen. Sonsten bin Ich nicht besorget, dass die Franzosen einen Particulierfrieden machen und den Kaiser plantiren sollten, denn dieses stehet nicht in ihren Mächten, wenn sie es schon thun wollten.4 |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1 Oben Nr. 1223 S. 442.
2 Vergl. die Erlasse an Dohna vom 9. Nov. und 7. Dec. 1743, Preussische Staatsschriften I, 402.
4 In der von Valory am 5. Nov. übergebenen Antwort heisst es: „En supposant que le roi de Prusse ait des expédients pour faire réussir son projet, ils doivent échouer, s'il est indispensablement nécessaire que le Roi (de France) en fasse la dépense: il n'est point en pouvoir de s'en charger et de fournir à des dépenses aussi prodigieuses.“