<493>würde, dass die Sachsen jetzo sonder Vorbewusst des russischen Hofes mit der Königin von Ungarn über einen Tractat chipotirten.“ . . .

Eichel.

Auszug ans der Ausfertigung.


1293. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Chambrier berichtet, Paris 13. December: Der Vertreter des Grossherzogs von Toskana Marquis von Stainville und der Osterreichische Geschäftsträger von Gundel, die sich während der Dauer des Aufenthaltes des Königs zu Fontainebleau dem Hofe fern gehalten: „ont repris leurs premières allures depuis que cette cour est à Versailles, en voyant les mardis le sieur Amelot, comme font les autres ministres étrangers.“

Berlin, 26. December 1743.

Der König befiehlt, Chambrier zu antworten: „Wie er auf die Menées des Stainville und Gundel sehr genau Acht haben und wohl observiren sollte, was die Insinuationes dererselben dorten vor Impressiones sowohl bei dem französischen Ministerio als auch sonsten machten. Wie denn Se. Königl. Majestät, wann Sie des Herrn Cham-brier Relation mit dem, so der Generallieutenant Graf Donna gemeldet, ingleichen mit demjenigen, so zu Dresden passirte [verglichen], fast glauben müssten, dass zwischen dem französischen und wienerschen Hof jetzo was chipotiret werde.“ ...

Eichel.

Auszug aus der Ausfertigung.


1294. AU LIEUTENANT-GÉNÉRAL COMTE DE DOHNA A VIENNE.

Berlin, 27 décembre 1743.

Comme il m'importe extrêmement d'être bien au fait de la manière dont la cour de Vienne pense sur moi, et que cela peut-être se peut changer de temps en temps, soit de mal en pire, soit de mal en moins mal, ma volonté est que vous-devez tâcher de l'approfondir autant qu'il sera possible, ce dont vous me ferez, de quinze en quinze jours, une relation à mes propres mains, bien exacte et bien circonstanciée. Vous devez m'y mander si l'aigreur et le mécontentement de la cour de Vienne continuent, si cette aigreur va en augmentant, ou si, par des raisons politiques ou selon les conjonctures du temps, elle diminue; si l'on continue à me craindre, ou si cette cour-là pourrait bien se mettre en état de venir m'y attaquer. Vous y ajouterez les arrangements qu'elle fait pour ses troupes, et si l'on en retire encore quelques régiments de la Bavière en Autriche, en Bohême et en Moravie, ou si l'on les laisse présentement