„<81>polien Compliment beantwortet werden solle, und dass Höchstdieselbe Sich übrigens von der darin enthaltenen Sache ni en blanc ni en noir meliren wollten. Bei gedachter Relation ist zugleich ein Schreiben ohne dato gewesen, worinnen u. A. von einem gewissen Sieur de Schütz erwähnet wird, welcher Sr. Königl. Majestät Kriegesdienste suchet; so soll darauf geantwortet werden, dass er nur kommen möchte und dass er employiret werden sollte“ ....
Eichel.
Auszug aus der Ausfertigung.
745. AU GÉNÉRAL CHEVALIER DE SAXE A KROMAU.
Quartier général Selowitz, 16 mars 1742.
Monsieur. Je viens de recevoir dans ce moment votre lettre d'aujourd'hui, et je suis très fâché que l'accident des hussards ennemis qui ont été ce matin près de Pohrlitz, m'ait privé de la satisfaction de vous voir chez moi, dont j'espère pourtant profiter une autre fois. On m'a déjà rapporté qu'il y ait eu des hussards auprès de Pohrlitz, qui apparemment sont venus du côté de Laa. Il est très bien fait que vous faites transporter tous les magasins qui sont en avant de vous, et notre soin principal doit être à présent la subsistance des troupes; cela fait, nous irons investir Brünn, et j'attends la disposition de la marche de vos troupes pour ce blocus, afin que nous nous puissions concerter là-dessus de manière que les troupes saxonnes avec les miennes viennent à la fois, et point en différentes reprises, ce qui nous pourrait autrement causer bien d'embarras.
Quant à l'irruption que les Autrichiens menacent de faire dans le Haut-Palatinat, je ne suis pas encore tout-à-fait persuadé que cela doit être leur véritable dessein, puisque les troupes françaises qui marchent de Strasbourg vers Donawerth donneront assez d'occupation au maréchal de Khevenhüller pour qu'il ne puisse penser à la Saxe, et, par les avis que j'ai eus, j'ai appris qu'il dirigeait son marche vers Ulm. En tout cas, le régiment de cavalerie du prince Guillaume, qui est en Bohême, et le régiment du corps, avec le régiment du prince Eugène d'Anhalt, seront toujours à la disposition de Sa Majesté le Roi votre maître, pour pouvoir s'en servir où le cas l'exigera. Quant aux uhlans, je me suis toujours attendu qu'il en viendrait encore un nouveau corps de la Pologne, et jusqu'à cette heure, il y a actuellement un de mes commissaires aux confins de la Pologne pour les conduire par la Haute-Silésie et par ce pays vers vos troupes. Mais quant à ceux que vous avez chez vous,1 je vous laisse juger vous-même combien ils vous sont nécessaires dans la crise présente, où nous devons être assurés que
1 Der Ritter von Sachsen wollte drei bis vier Compagnien Uhlanen zum Schutze Sachsens detachiren.