926. AU ROI DE LA GRANDE-BRETAGNE A LONDRES.
[16 juillet 1742.]
Monsieur mon Frère. Je ne puis m'empêcher de remercier Votre Majesté de la façon obligeante dont il Lui a plu de S'employer, par Sa médiation, pour moyenner ma paix avec la reine de Hongrie. Cette marque d'amitié de Votre Majesté m'est d'autant plus sensible que je m'y étais toujours attendu de Sa part. Je souhaite de tout mon cœur d'avoir une occasion assez favorable pour Lui en témoigner ma reconnaissance et pour Lui donner des marques de l'estime infime et de tous les sentiments avec lesquels je suis, Monsieur mon Frère, de Votre Majesté le très bon et fidèle frère
Federic.
Nach Abschrift der Cabinetskanzlei. Das in derselben fehlende Datum ergiebt die Antwort.
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