1061. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Dohna berichtet, Wien 6. Februar, Graf Ulfeld habe ihm bemerkt : „que, si Votre Majesté avait voulu donner des troupes à la reine de Hongrie, la paix eût été conclue beaucoup plus tôt et d'une manière encore plus avantageuse encore“ .... „Il se plaignit ensuite de quelques ministres de Votre Majesté dans les cours étrangères, qui agissaient avec tant de passion contre la maison d'Autriche, et ajouta que la Reine sa maîtresse serait sensiblement obligée à Votre Majesté si Elle voulait faire déclarer aux cours étrangères tout ce que je lui avais dit sur l'exacte neutralité que Votre Majesté voulait observer, et sur les favorables intentions qu'Elle avait pour la reine de Hongrie; que cela servirait beaucoup à désabuser les esprits des impressions qu'on leur avait suggérées.“ | Potsdam, 13. Februar 1743. Er soll sich Mühe geben, den Graf Ulfeid adroitement zu disponiren, dass er sich herauslasse, was er vor Avantages meinet, welche man Mir machen wollte. Die Declaration, so sie haben wollen, soll geschehen, und deshalb an alle Meine Gesandten eine Circulairordre in gehörigen Terminis ausgefertiget werden, vermöge welcher sie declariren sollen, dass wenn Ich die Ruhe im Reich und dessen Conservation zu bearbeiten Mich beflisse, solches nicht die Absicht habe, der Königin von Hungarn schwer zu fallen, vielmehr dass Ich eine exacte Neutralité halten und den mit derselben getroffenen Frieden unverbrüchlich halten würde. Dohna soll an den Graf Ulfeld sagen, dass Ich die Declaration, wie er sie verlanget, thun lassen würde.330-1 |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
330-1 Der Wortlaut des Circulareriasses und des Erlasses an Dohna : Preussische Staatsschriften I, 365.