1133. AU DÉPARTEMENT DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES.
Podewils und Borcke berichten, Berlin Ii. Juni: Der Legationsrath von Seyferth ist aus Wien eingetroffen, um über die principia regulativa zu verhandeln, nach denen in Gemässheit des Separatartikels des Berliner Friedens374-1 die gegen einander zu verrechnenden öffentlichen Schuldforderungen der beiderseitigen | Quant aux dettes, vous pouvez négocier comme vous le voudrez, mais je ne paie rien. |
Unterthanen zu begleichen sein würden. Die Minister haben ihm im Vorwege bemerkt, dass die Forderungen preussischer Unterthanen an österreichische Kassen sich als weitaus die bedeutenderen herausstellen würden. | |
Botta und Seyferth haben die Aeusserung fallen lassen: „que les États de Silésie, aussi bien que l'Obersteueramt et la chambre des finances sont encore tenus de payer à la reine de Hongrie tous les arrérages échus avant la dernière guerre.“ | Non, il faut rompre tout net là-dessus, et leur faire voir que ce sont de mauvaises chicanes. |
Die Minister haben erwidert, dass sie kaum wagten, darüber an den König zu berichten; „qu'il ne pourrait que paraître extrêmement étrange à Votre Majesté que la cour de Vienne s'avisât maintenant d'insister ultérieurement sur une demande dont il n'est fait aucune mention du tout dans le traité définitif de paix, et qui outre cela a été refusée tout à plat durant le cours de la négociation. | Très bien. Votre principium regulativum doit être : Le roi de Prusse ne paie rien. |
Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.
374-1 Vergl. oben S. 238.