<266> zu sehen, indem Ich noch kein sonderliches Empressement bei denen Oesterreichern deshalb merke.1
Friderich.
Nach der Ausfertigung im Kriegsarchiv des Königl. Grossen Generalstabs zu Berlin.
12735. AU SECRÉTAIRE VON DER HELLEN A LA HAYE.
Leipzig, 12 mars 1761.
Votre rapport du 3 de mars m'est bien entré, et j'ai donné mes ordres au ministre d'État le comte de Finckenstein, afin qu'il concerte avec le gouvernement de la République l'affaire des évêchés vacants.2 L'idées que vous venez de m'exposer relativement à quelque petite acquisition en Westphalie3 à la négociation de la prochaine paix, sont encore prématurées, ma situation actuelle m'empêchant de songer à acquérir et devant me borner, vu les circonstances, à tâcher de me soutenir . . .4
Federic.5
Nach dem Concept.
12736. AU MINISTRE DE LA GRANDE-BRETAGNE MITCHELL A LEIPZIG.
Leipzig, 13 mars 1761.
J'ai lu, Monsieur, la lettre que vous m'avez écrite aujourd'hui. Je vous prie d'être bien persuadé que je ferai régler les demandes concernant les bailliages saxons hypothéqués au gouvernement de Hanovre6 selon la plus exacte justice, s'entend sans déranger le moins du monde
1 An den Generallieutenant von Lattorff schreibt der König am 12. März, dass ihm „fast von allen Orten her der Marsch eines österreichischen Corps Truppen nach Italien bestätiget“ werde. „Es wird Mir . . . besonders angenehm sein, wenn Ihr Euch bemühet und die Gelegenheit finden werdet, um recht auf den wahren Grund dieser Nachricht zu kommen, damit Ihr dann Mich sogleich davon avertiren könnet,“ Er benachrichtigt ihn eingehend von den über die Franzosen und die Reichsarmee errungenen Erfolgen. [Berlin. Generalstabsarchiv.]
2 Die durch den Tod des Churfürsten Clemens August von Cöln (gest. am 6. Februar) erledigten Bisthümer.
3 Der Gesandte hatte vorgeschlagen, der König möge „Se faire céder à la paix la petite langue de terre qui interrompt en Westphalie la communication . . ., ne fût ce qu'afin que la poste d'Emmeric puisse rester sans discontinuation sur le territoire de Votre Majesté.“
4 Der Schluss handelt über den Eintritt fremder Officiere in preussische Dienste.
5 Auf dem Berichte des Obersten Quintus Icilius, welcher, Leipzig 10. März, das Gesuch eines anonymen „Entrepreneurs“ übersandt hatte, der einen Pulk von 1000 bis 1500 tartarischen Reitern zusammenbringen und nach Schlesien führen wollte, wenn er ein königliches Schreiben an den Tartarenchan und 10000 Thlr. erhalten würde, finden sich die Weisungen für die Antwort: „Que ni la proposition ni les conditions ne convenaient pas au Roi, et que le Roi ne voyait nul avantage solide qui saurait lui en revenir.“
6 Mitchell hatte, Leipzig 13. März, geschrieben, „que, nonobstant ce que [Votre Majesté] me fit l'honneur de me dire l'autre jour, la noblesse de Mansfeld et de Sangerhausen viennent derechef d'être menacés d'une exécution militaire pour les dons gratuits exorbitants, demandés par le directoire de la guerre“ .