12735. AU SECRÉTAIRE VON DER HELLEN A LA HAYE.
Leipzig, 12 mars 1761.
Votre rapport du 3 de mars m'est bien entré, et j'ai donné mes ordres au ministre d'État le comte de Finckenstein, afin qu'il concerte avec le gouvernement de la République l'affaire des évêchés vacants.266-2 L'idées que vous venez de m'exposer relativement à quelque petite acquisition en Westphalie266-3 à la négociation de la prochaine paix, sont encore prématurées, ma situation actuelle m'empêchant de songer à acquérir et devant me borner, vu les circonstances, à tâcher de me soutenir . . .266-4
Federic.266-5
Nach dem Concept.
266-2 Die durch den Tod des Churfürsten Clemens August von Cöln (gest. am 6. Februar) erledigten Bisthümer.
266-3 Der Gesandte hatte vorgeschlagen, der König möge „Se faire céder à la paix la petite langue de terre qui interrompt en Westphalie la communication . . ., ne fût ce qu'afin que la poste d'Emmeric puisse rester sans discontinuation sur le territoire de Votre Majesté.“
266-4 Der Schluss handelt über den Eintritt fremder Officiere in preussische Dienste.
266-5 Auf dem Berichte des Obersten Quintus Icilius, welcher, Leipzig 10. März, das Gesuch eines anonymen „Entrepreneurs“ übersandt hatte, der einen Pulk von 1000 bis 1500 tartarischen Reitern zusammenbringen und nach Schlesien führen wollte, wenn er ein königliches Schreiben an den Tartarenchan und 10000 Thlr. erhalten würde, finden sich die Weisungen für die Antwort: „Que ni la proposition ni les conditions ne convenaient pas au Roi, et que le Roi ne voyait nul avantage solide qui saurait lui en revenir.“