<178>dem Herrn von Mardefeld zu senden und zu mehrerem Éclaircissiment darüber Gelegenheit geben zu können.1
Eichel.
Nach der Ausfertigung.
1469. A LA PRINCESSE RÉGNANTE D'ANHALT - ZERBST A MOSCOU.
Potsdam, 15 juin 1744.
Madame ma Cousine. Rien ne m'aurait pu donner plus de satisfaction ni me causer plus de joie que les deux lettres que vous m'avez écrites en date du 21 et du 28, et je ne saurais assez vous remercier de toutes les bonnes nouvelles que vous m'y donnez. Celle du parfait rétablissement de la santé précieuse de la Princesse votre fille m'a surtout fait un plaisir infini, et j'en prends trop de part pour ne pas vous en faire, à l'une et à l'autre, mes sincères compliments de félicitation. De la manière que vous vous prenez, Madame, j'ai tout lieu de me natter qu'à la célébration de la fête de la paix nos souhaits communs seront accomplis, malgré tous nos envieux, et je ne saurais que parfaitement goûter le plan que vous avez bien voulu me communiquer à ce sujet. Si le baron de Mardefeld est en état d'y contribuer quelque chose, je suis sûr qu'il s'y employera avec cette fidélité et cette dextérité que je lui connais. Il aura l'honneur de vous dire ce que j'ai fait pour redresser la faute que la cour de Francfort vient de faire par rapport au sieur de Woronzow,2 et j'espère que celui-ci en sera content. Comme vous me demandez des nouvelles de Monsieur votre frère George, je ne saurais que de vous dire que j'ai tout lieu d'être content de lui et de son application au métier, et je vous supplie de croire que je ne manquerai pas d'avoir tous les égards possibles pour le comte de Gyllenborg, par la recommandation que vous me faites de sa personne. Je renouvelle avec plaisir les assurances de l'amitié et de l'estime la plus parfaite avec laquelle je suis, Madame ma Cousine, votre très bon et fidèle cousin
Federic.
Nach dem Concept.
1 Mardefeld berichtet am 2. Juli, dass er allerdings dem Vicekanzler die in Rede stehende Vorstellung gemacht, aber mit Vorwissen der Kaiserin, um ihn wegen der zahlreichen Couriere zu beruhigen, die er in der Heirathsangelegenheit der Prinzessin von Zerbst erhalten habe. „Il est impossible que Sa Majesté Impériale puisse avoir donné de tels ordres au comte de Tschernyschew, mais cela dénote également que le Vice - Chancelier a l'effronterie et trouve le moyen de lui faire signer à son insu tout ce qu'il trouve à propos.“ Als der Hofmarschall von Bestushew nach einiger Zeit seine Beschwerde in Berlin wiederholte, gab der König unter dem 9. September auf Bericht des Ministeriums vom 1. September seine Einwilligung, ihn, nach dem Vorschlage von Mardefeld, dahin zu bescheiden: „Que, comme Sa Majesté l'Impératrice était de longue main suffisamment informée des sentiments de Votre Majesté sur le sujet en question et de tout ce qui s'était passé à cet égard, il serait superflu de le répéter.“
2 Vergl. S. 180. 188.