droit à l'accession de l'Angleterre, que Bestushew ne manquerait pas de proposer.“ | |
Für die Accession des Königs von Schweden als Herzog von Pommern zu der Union haben die Reichsräthe Gyllenborg und Palmfeld dem Grafen Finckenstein gute Aussichten eröffnet. „Ils m'ont dit qu'il fallait attendre l'arrivée du Prince et le disposer d'appuyer la proposition dans le Sénat.“ | Gut. Der Graf Finckenstein soll nur fleissig die Sache poussiren und dass der König von Schweden nur erst als Herzog von Pommern accedire. |
Podewils und Borcke berichten, Berlin 3. September, über ein Schreiben des Herzogs von Württemberg und ein von dem Geheimen Rath von Keller übersandtes voluminöses Memoire. „Il ne s'agit que de toute sorte d'excuses que le Duc, par la situation de ses États et par plusieurs autre sraisons qu'il détaille, ne saurait contracter des liaisons avec l'Empereur et la France, tandis cependant qu'il insiste sur une prompte restitution des seigneuries qui font partie de la succession de Montbéliard.“ | Recht gut. Sie sollen ihm aber dabei nur reine heraus schreiben, dass wenn der württembergische Hof sich ferner so partialisch gegen den Kaiser bezeigen würde, Ich nicht im Stande wäre, etwas zu seiner Faveur zu thun.1 |
Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1572. AU MARÉCHAL DE FRANCE DUC DE BELLE-ISLE A METZ.
Camp devant Prague, 10 septembre 1744.
Monsieur. Le feld-maréchal comte de Schmettau m'ayant envoyé le plan des opérations que vous avez fait, tant pour le reste de cette campagne que pour celle de l'année prochaine, je n'ai pas pu me dispenser de vous témoigner la satisfaction que j'en ai, et il ne me reste rien à désirer, si ce n'est que tout soit vigoureusement exécuté et qu'on n'y change rien sans des raisons bien fortes. Il n'y a que l'article d'une certaine ville d'Empire2 qui me fait quelque peine, étant persuadé qu'il nous faut ménager extrêmement les États et les villes d'Empire neutres, pour ne pas nous attirer des criailleries et nous faire objecter ce que nous avons reproché à la reine de Hongrie.
Je connais trop, Monsieur, le zèle que vous avez pour la gloire du Roi votre maître et pour le bien de la cause commune pour que je dusse douter que vous ne contribueriez tout ce qui est humainement possible, afin que la France mette de la vigueur dans ses opérations, et
1 Das auf Grund dieser Weisung im Ministerium entworfene Schreiben an den Herzog (vergl. auch Nr. 1577) ist vom 19. September.
2 Ulm. Vergl. S. 272. 275. 277.