Vous ferez l'usage convenable de tout ceci, afin que la France fasse au moins quelque chose pour nos intérêts communs; et surtout, vous insisterez sur la marche promise d'un corps d'armée vers le Bas-Rhin et les frontières d'Hanovre, puisque sans cela les électeurs ecclésiastiques ne cesseront de clabauder contre la France, de se joindre au parti anglais et autrichien, et d'attirer dans leur parti plusieurs autres princes de l'Empire, à présent que la Saxe élève tant sa crête, en se déclarant ouvertement pour le parti anglais et autrichien. Sur cela, je prie Dieu etc.
Federic.
Nach der Ausfertigung.
1598. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Finckenstein berichtet, Stockholm 11. September: Gyllenborg hat ihm in Betreff der Accession zur Union eine Note übergeben des Inhalts „que Sa Majesté est toute disposée à concourir à un but aussi salutaire que l'est celui énoncé dans le susdit traité conclu à Francfort, aussitôt que les parties contractantes auraient unanimement fait inviter Sa Majesté à y répondre ; et ce serait dans une négociation relative à ce sujet qu'on pourrait ajuster plus précisément les points qui détermineraient finalement la résolution de Sa Majesté.“ | Lager bei Tabor, 28. September 1744. Sehr gut. Und muss alles zu dieser Sache erforderliche äusserst pressiret und bestens besorget werden. |
Langschmid übersendet, Hannover 18. September, die dort erschienene Deduction „Gründlicher Unterricht von dem Sr. Königl. Majestät von Grossbritannien als Churfürsten von Braunschweig und Lüneburg zustehenden Successionsrecht in die Grafschaft Ostfriesland und dazu gehörige Herrschaften.“ | Es muss recht solide und bald wiederleget und die ganze ohngegründete Zunöthigung des hannöverischen Hofes dem Publico wohl und auf eine ganz convainquante Art gezeiget werden. |
Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1599. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A FRANCFORT-SUR-LE-MAIN.
Camp de Tabor, 28 septembre 1744.
J'ai bien reçu la relation que vous m'avez faite en date du 19 de ce mois. Je suis très fâché du peu de vigueur que le général de Donop a trouvé dans le gouvernement de France ; mais, dans l'état où nous sommes, il n'y a d'autre moyen que de temporiser et d'éperonner autant qu'il est possible, et attendre le temps que des gens habiles, que