<341>nager au possible. Du reste, je me remets sur la dernière dépêche que je vous ai envoyée par un courrier, n'ayant cette fois plus rien à vous dire sinon que j'approuve parfaitement l'idée que vous avez eue par rapport au prince cadet de Hesse-Darmstadt,1 si le malheur voulait que le cas dont vous me parlez dût exister.
Federic.
Nach dem Concept.
1644. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Von dem Cabinetssecretär.
Podewils berichtet, Berlin 4. December: „Comme la dernière maladie du Grand-Duc a extrêmement alarmé l'Impératrice, on songe en Russie de régler d'avance la succession de cet empire, en cas que le Grand-Duc vînt à mourir avant la consommation de son mariage. Comme l'Impératrice pourrait travailler à faire déclarer la princesse d'Anhalt-Zerbst capable de succéder à l'empire, et tâcher de la marier avec un prince convenable à ses vues et ses intérêts, m'est venu une idée, que je soumets pourtant aux grandes lumières de Votre Majesté, et qui est de faire proposer par Mardefeld et ses amis le margrave Charles pour cet effet, sur lequel on a fait autrefois tant de réflexion, d'autant plus qu'il serait facile à l'Impératrice de faire valoir le droit de ce Prince sur la Courlande.“ Mardefeld berichtet, Moskau 12. November: „Àu commencement de la maladie du Grand-Duc, sa tente [l'Impératrice] était dans une consternation excessive. Mes amis me pressèrent de leur communiquer mes sentiments; je leur dit, après avoir réfléchi un moment, qu'il faudrait marier incessamment la Grande-Duchesse à un prince protestant, pour des raisons connues, et comme il ne s'en trouvait point dans la famille royale de Prusse, il me semblait qu'on dût travailler le choix sur le prince George de Darmstadt, dont on m'avait loué l'esprit et la figure; à quoi on applaudit généralement.“ | Schweidnitz, 11. December 1744. ... „Wegen der von Ew. Excellenz letzthin an Se. Königl. Majestät gesandten chiffrirten Relation habe in meinem vorigen annoch zu melden vergessen, wie des Königs Majestät Ew. Excellenz Gedanken, betreffend eine gewisse Heirath des Markgrafen Karl, nicht goutiret haben; denn ausserdem, wie Höchstdieselbe sagten, dass Sie gedachten Herrn Markgrafen zu heb hätten, als solchen in ein dergleichen Meer von Unruh zu bringen, so hielten Sie dergleichen Verbindung, wenn auch der Cas existirte und die Hauptpersonen gänzlich d'accord wären, so doch kaum zu hoffen sei, vor impracticabel, da sich auf solchen Fall ganz Europa dagegen conjuriren würde. Hergegen vermeinen Se. Königl. Majestät, dass des Herrn von Mardefeld am Schluss seiner Relation ad manus vom 12. November angeführte Gedanke praesuppositis praesupponendis noch eher faisable schiene.“ Eichel. |
Auszug aus der Ausfertigung.
1 Vergl. die folgende Nummer.