1321. AU DÉPARTEMENT DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES.

Podewils und Borcke berichten, Berlin 25. Januar, liber ihre Verhandlungen mit dem württembergischen Minister von Keller: „Le Duc persiste dans son offre de laisser à la disposition de Votre Majesté le nombre de 800 à 1000 recrues, à lever dans le pays de Wurtemberg en trois mois de temps, mais qu'il plaise à Votre Majesté de les lever à Ses frais.“

On peut trouver un tempérament touchant les recrues, qui est, de me permettre de les lever dans deux ans, savoir chaque année 400.

Für die beiden in preussischem Solde stehenden württembergischen Regimenter will der Herzog die Recruten selbst ausheben lassen, aber sie nur zu dem Preise abliefern, zu dem die andern Regimenter ihre Recruten anwerben. Die Geldforderungen der verwittweten Erbprinzessin16-1 und ihrer Tochter Louise erkennt der Herzog nicht an: „Pour la princesse Louise, on promet de bouche de faire quelque chose par amitié et affection, sans vouloir se lier les mains.“

Quant aux recrues pour ces deux régiments, cela suffit. Quant à ma cousine, je ne sais pas comment on pourra obliger le Duc à faire quelque chose pour elle, et je le crois bien difficile.

Le grand article est qu'il s'engage à rester attaché à l'Empereur et à nous.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.

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16-1 Henriette Marie, geborne Markgräfin von Brandenburg-Schwedt, Gemahlin des 1731 gestorbenen Erbprinzen Friedrich Ludwig von Württemberg, welche die Verwendung des Königs angerufen hatte.