„<8> solche auf alle Art gelten zu machen suchen und das Ministère vor Sr. Königl. Majestät und Dero Absichten zu gewinnen sich äusserst, jedoch ohne Affectation, angelegen sein lassen sollte. Wegen der österreichischen Rodomontaden soll er sich nur dahin herauslassen, dass man ihnen die eingebildete Freude lassen müsste, das Publicum ihrer Gewohnheit nach mit chimériquen Avantagen zu illudiren; es würde die Zeit aber vielleicht bald herankommen, da das Publicum von allen solchen Illusionen abusiret werden würde, und wurden in der kommenden Campagne die Oesterreicher und ihre Clique am ersten aufhören zu lachen.“
Eichel.
Auszug aus der Ausfertigung.
1683. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 12. Januar: „J'ai été averti que Bülow a dit l'autre jour à quelqu'un: que la réponse que la cour de Russie donnerait à Votre Majesté sur la garantie qu'Elle a réclamée par rapport à la Silésie,1 servirait de boussole à la conduite de la Saxe; que, si cette réponse était favorable, la Saxe tâcherait de se tirer peu à peu des engagements qu'elle avait contractés avec la cour de Vienne . . . J'espère que Votre Majesté approuvera qu'on informe Mardefeld du discours de Bülow, et que l'on aiguillone de plus en plus pour obtenir au plus tôt une déclaration dont on peut faire parade.“ | Berlin, 13. Januar 1745. Sehr gut; soll nur sogleich dergleichen Ordres und Instructionsrescript expediren und zur Unterschrift einsenden, da Ich dann solche mit einem Courier absenden will. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1684. AU MINISTRE D'ÉTAT BARON DE MARDEFELD A SAINT-PÉTERSBOURG.
Berlin, 14 janvier 1745.
Vos relations du 21 du mois de décembre passé m'ont été bien rendues. Je suis très content de la conversation que vous avez eue avec le Grand-Chancelier, et des moyens dont vous vous êtes servi pour vous le concilier. Il faudra à présent battre le fer pendant qu'il est chaud et tirer autant de parti qu'il sera possible des promesses qu'il vous a faites, en le disposant à faire faire quelque démarche éclatante de sa cour pour mes intérêts, soit par la déclaration que j'ai demandé que l'Impératrice fît à la cour de Vienne par rapport à la garantie de
1 Vergl. Bd. III, 363—366.