1834. AU DÉPARTEMENT DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES.
Finckenstein berichtet, Stockholm 23. April: „Je reçus hier un ordre de Votre Majesté du 10 de ce mois,153-1 au sujet de la nécessité où Votre Majesté pourrait peut-être Se trouver de prendre un parti opposé à celui qu'Elle a soutenu jusqu'ici .... Quelque changement que puisse produire dans le système de l'Europe le parti que Votre Majesté pourrait prendre, je ne vois pas qu'il puisse préjudicier à Ses intérêts en Suède; je ne crois pas même qu'il soit nécessaire de prendre dès le moment des mesures contre le parti français.“ Finckenstein wird der Kronprinzessin von der Eventualität eines Friedens Mittheilung machen: „Je ne dirai rien, dans cette première insinuation, oui puisse tomber sur les partis de ce pays-ci; j'attendrai là-dessus les ordres ultérieurs de Votre Majesté.“ | [Camenz, 11 mai 1745.] Tout cela est mal entendu. Il faut avertir Finck de ce qui peut arriver par rapport à la paix, pour que ma sœur le sache d'avance et qu'elle puisse prendre pour elle ses mesures là-dessus. Mais jamais je n'ai eu dans l'esprit d'ordonner à Finck de traverser le parti français ni de lui mettre rien dans le chemin. Fr. |
Nach der eigenhändigen Aufzeichnung (praes. 15. Mai) am Rande des Berichts. Das Datum ergiebt ein Schreiben Eichels an Podewils vom 11. Mai.
153-1 Ein Erlass aus dem Ministerium in Ausführung der in Nr. 1776 S. 107 enthaltenen Weisung.