1835. au conseiller privé de guerre eichel a camenz.

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Klinggräffen berichtet, München 1 Mai, über den Abschluss der Friedenspräliminarien zwischen den Höfen von München und Wien,153-2 von deren Inhalt ihm weder der Oberkämmerer Graf Preysing noch der Marschall Törring noch der Freiherr von Braidlohn eine Mittheilung zu machen gewusst haben. „Il est vrai qu'on n'a guère vu de désordre pareil à celui où cette cour se trouve, et il est incompréhensible de combien de ressorts on s'est servi pour faire faire cette paix honteuse à l'Électeur.“

[Camenz, 13 mai 1745.]

Que la paix avec l'Électeur et la Reine étant une fois faite, il fallait l'oublier, qu'il ne devait marquer de l'aigreur envers personne et ne point prendre de parti à la cour. Je lui réitère encore un ordre très pressé de faire tout son possible pour engager le général Saint-Germain et de m'informer si je pourrai l'avoir bientôt. Sa grande attention doit être sur la destination

 

des troupes autrichiennes de la Bavière, de quel côté on les envoie.

Fr.

Mardefeld berichtet, Petersburg 24. April: „Le général Keith, qui est des généraux russes le seul capable de commander une armée, est parti pour Reval... Je tâcherai toujours à l'informer des intentions de Votre Majesté.“

Qu'il doit faire des conditions avec le général Keith et me les envoyer.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung in dorso der Berichte. Demgemäss Immediaterlasse an Klinggräffen und Mardefeld, Camenz 13. Mai.



153-2 Vergl. S. 135 Anm. 2.