1868. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BERLIN.

Camp auprès de Schweidnitz, 2 juin 1745.

Mon cher Podewils. L'ennemi descend aujourd'hui des montagnes, et demain nous l'attaquerons. Les dispositions sont faites et tous les arrangements pris de façon qu'il n'y a plus qu'à en attendre l'événement. Vous savez le malheur qui m'est arrivé à Cosel, que l'on a pris par trahison.181-1 Adieu, j'attends la journée de demain, pour vous en dire davantage.

Federic.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.



181-1 26. Mai.