<361> würde es damit hoffentlich anstehen können, bis man gewiss sähe, dass solcher Congrès zu mehrerer Consistance wie jetzo kommen und die Sachen auf solchem zu wirklichen und ernstlicheren Conferenzen gelangen würden. Hierbei haben Se. Königl. Majestät mir besonders befohlen, Dero allergnädigste Intention wegen Beschickung des Congresses dahin zu melden, dass, sobald es nur die Umstände erfordern würden, dass Se. Königl. Majestät jemanden dahin zu senden Ursach haben dürfen, dieser alsdann, so lange die Conferenzen nicht recht sérieux würden, sich dorten nur ganz légèrement betragen und ganz indifferent bezeige, auch nur was in den Conferenzen vorfiele, attendiren und observiren müsse. Sobald aber die Conferenzen sérieux würden, und es das Ansehen gewönne, als ob es zu einem wirklichen Friedensschluss kommen würde, sodann müsse Dero dahin gesandter Minister actif zu werden anfangen und bald mit dieser, bald mit jener Partie sprechen, sodass es das Ansehen habe, wenn es schon in der That nicht so wäre, als ob er sich von dem ganzen Friedenswerke melirte, und Se. Königl. Majestät das Ihrige dazu, durch eine apparente Mediation, besonders mit beigetragen hätten. Welches dann Ew. Excellenz melden sollen, um in der Instruction, welche dem dahin zu sendenden Minister mitgegeben werden würde, davon Gebrauch zu machen.
Eichel.
Nach der Ausfertigung.
2594. AU CONSEILLER ANDRIÉ A LONDRES.
Potsdam, 11 avril 1747.
J'ai été bien aise de voir, par le post-scriptum chiffré que vous m'avez fait à la suite de votre dépêche du 31 du mois dernier de mars, de quelle manière milord Chesterfield s'est expliqué aux insinuations que vous lui avez faites en conséquence des ordres que je vous ai donnés.1 Si ce milord veut bien réfléchir encore sur la situation où moi et la Suède ont été relativement aux démonstrations guerrières que la Russie a faites depuis un an, il laissera sûrement tomber les soupçons qui lui restent contre moi à l'égard de l'alliance défensive entre moi et la Suède. La Russie a envoyé de ses troupes aux frontières de la Finlande, pour lier la Suède; cette puissance a tenu en même temps un grand corps de troupes en Livonie et en Courlande, pour me lier également, à ce qu'on s'est au moins vanté : y a-t-il une chose plus naturelle sinon que moi et la Suède, également menacés par la même puissance, tâchent à pourvoir à leur sûrete par une alliance purement et simplement défensive, et où il n'y a rien qui puisse offenser qui que ce soit? Ce que vous ne manquerez pas d'insinuer d'une manière convenable audit milord, à la première occasion que vous y trouverez.
Federic.
Nach dem Concept.
1 Vergl. S. 338.