<110> pour l'envoi de votre courrier,1 et vous sais tout le gré du monde des peines que vous vous êtes données à ce sujet.
Quoique en attendant je ferai faire entamer l'affaire en question avec le duc de Brunswick, je n'avancerai cependant rien qui saurait tirer en conséquence et je ferai en sorte que, le cas le demandant, je pourrai toujours m'en retirer. Et sur ce, je prie Dieu etc.
Federic.
Nach der Ausfertigung im Archiv des Auswärtigen Ministeriums zu Paris.
4565. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Klinggräffen berichtet, Hannover 11. October: „Quoiqu'on ait répondu ici avec assez d'assurance que l'électeur de Cologne eût donné sa voix, nous savons depuis deux jours qu'il y a encore des conditions à régler qui ne paraissent pas être faciles à ajuster. C'est par un exprès que le comte de Metternich a expédié de Francfort à ici, que l'affaire s'est éclaircie, quoiqu'en grand, secret, ce qui a mis le Roi, le duc de Newcastle et le ministère d'ici de très mauvaise humeur. Il y a six conditions que l'Électeur prétend y mettre, avant que de s'engager pour sa voix. Nous n'en savons encore que deux; la première, que son traité de subsides, au lieu de quatre ans, soit prolongé jusqu'à six ans, et la seconde, que le roi d'Angleterre paie les arrérages dus par la France par son traité, qu'elle ne paiera plus, depuis que l'Électeur en a fait un autre avec le Roi, comme électeur d'Hanovre, et la République [de Hollande]. On dit que les quatre autres conditions sont de la même force.“ Warendorff berichtet, Petersburg 29. September, dass nach der Dislocation der russischen Winterquartiere zu schliessen Bestushew die Absicht, durch die Kräfte Russlands die Pläne der Czartoryski's in Polen zu unterstützen, wenigstens für den Augenblick aufgegeben zu haben scheine. Du Commun berichtet, Haag 9. October: „Le bruit court ici que la comtesse de Bentinck, ayant imploré la protection de Votre Majesté contre les décrets et arrêts que son époux a obtenus à son désavantage durant son séjour à Vienne, Votre Majesté avait envoyé un détachement de grenadiers dans la seigneurie de | Potsdam, 14. October 1750. Weilen Se. Königl. Majestät aus der heutigen Dépêche des Herrn von Klinggräffen ersehen haben, wie es mit der Stimme von Churköln zur römischen Königswahl noch nicht so weit gekommen, als man solches wohl vermuthen sollen, so haben des Königs Majestät mir befohlen, Ew. Excellenz zu melden, wie Dieselbe die dahin concernirende Passage aus dem Original dem Lord Tyrconnell Selbst vorzulesen belieben möchten. Bei Gelegenheit der Warendorff'schen Dépêche haben Se. Königl. Majestät resolviret, dass gedachtem Herrn Warendorff, woferne es sonsten noch nicht geschehen, dasjenige communiciret werden möchte, was letzthin der Herr von Voss von der Instruction, so der Graf Keyserlingk von seinem Hofe, wegen der polnischen Affairen, und sich nach verfehltem Hauptzwecke wegen des Reichstages nicht einmal von der Petrikau'schen Sache zu meliren, bekommen, gemeldet hat.2 Des Königs Majestät seind sonsten von dem, so der du Commun wegen der Gräfin Bentinck geschrieben, ganz nicht zufrieden |
1 Vergl. S. 105.
2 Warschan 26. September. Vergl. die folgende Nummer.