<158> roi des Romains; si je ne me trompe pas tout-à-fait, elle se prêtera à me faire des propositions ultérieures, afin de mener par là cette affaire à sa consistance. Quoi qu'il en soit, je la verrai venir.
Federic.
Nach dem Concept.
4633. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A POTSDAM.
Potsdam, 17 novembre 1750.
L'attention que vous m'avez marquée par votre lettre du 16 de ce mois, en vous conformant de fort bonne grâce à mes ordres par rapport à votre envoi à Vienne, m'a donné bien de la satisfaction; aussi viens-je de régler vos appointements, port de lettres et frais d'équipages, sur le même pied que le comte Podewils les a eus.
Sur ce qui regarde le poste de ministre à la Haye que vous souhaitez d'occuper un jour pour vous tenir lieu de retraite à votre âge, je vous dirai qu'il arriverait peut-être que vous mourriez plus tôt avant que je sache me déterminer de remplacer ce poste par un ministre de votre caractère. La Haye s'est bien changée depuis quelque temps, et mes liaisons avec le gouvernement de Hollande ne sont plus telles qu'elles les furent autrefois. D'ailleurs le peu d'attention qu'on m'a marqué en laissant vaquer un temps considérable le poste de ministre de Hollande à Berlin, tandis qu'on s'est empressé à remplir d'autres, fait que je n'ai nulle envie de remplacer si tôt celui à la Haye; un chargé d'affaires m'y suffira, surtout pendant un temps où je n'ai rien ou peu de choses à négocier là. Ainsi donc qu'il n'y a à présent que le poste à Vienne dont je puis vous accommoder.
Federic.
Nach dem Concept.
4634. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 16. November, über eine von dem churpfälzischen Legationssecretär Bossart mitgetheiltes an denselben gerichtetes Schreiben des bairischen Ministers von Praidlohn [München 5. November], das eine Apologie der Erneuerung des Subsidienvertrages zwischen Baiern und den Seemächten enthält. Nach einem gleichfalls von Bossart mitgetheilten Schreiben des pfälzischen Ministers von Wachtendonck. hat der holländische Legationssecretär Gebler ans Berlin nach Mannheim berichtet, dass die Höfe von Berlin und Wien wegen der Königswahl einig seien: Podewils hat | Potsdam, 17.November 1750. Er kann dem p. Bossart ganz poliment in dem Sinn antworten, wie jeder Herr in seinem Lande thun könne, was er wolle, also dem Churfürsten ein gleiches zu thun nicht verhindert werden könnte, welches er denn mit gleichmässigen Complimenten assaisonniren kann. Uebrigens approbire Ich sehr, dass er denen Faux-Bruits, so der holländische Minister zu Mannheim malitieuser Weise über Mein Sujet |