fahren in dieser Frage auf die früher allerhöchsten Orts geltend gemachten Motive1 beziehen. Da sich der dänische Hof den juristischen Argumenten verschliesse, hätten sie dort durch den französischen Gesandten Lermaire zwei Wege zu gütlichem Ausgleich vorschlagen lassen: 1° Que la cour de cour de Danemark décline à Vienne la commission qui lui a été injustement adjugée, comme cela se pratique tous les jours dans l'Empire en pareil cas. Mais comme ce tempérament pourrait n'être pas du goût de la susdite cour, nous avons fait proposer 2° Que le roi de Danemark consente à laisser tomber toute l'affaire et à lever même le séquestre de Varel, si la comtesse de Bentinck se trouve en état, au moyen d'un négoce d'argent, de payer les dettes qui ont occasionné tout ce procès. Dans l'un et l'autre cas, nous avons déclaré que Votre Majesté retirerait sur le champ la sauve-garde qui est actuellement à Knyphausen. Nous attendons la réponse de la cour de Danemark sur ces deux propositions; mais comme l'intérêt caché qui l'a fait agir, nous fait craindre qu'elles ne soient rejetées, nous avons songé à un troisième expédient, qui serait que Votre Majesté remît la décision de cette affaire à l'arbitrage de la cour de France, à qui le Danemark s'est déjà adressé de son côté.“ | nehm. Die Dänen seind darüber sehr piquiret. Zuletzt wird es am besten sein, ein Accommodement durch Interposition von Frankreich zu treffen. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
4687. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE MALTZAHN A DRESDE.
Berlin, 19 décembre 1750.
J'ai bien reçu vos rapports du 12 et du 15 de ce mois. Vous ferez bien de mettre à profit la sincérité que le sieur Calkœn affecte envers vous; telle qu'elle puisse être, vous devez cultiver son amitié, qui pourra vous servir, si vous y agissez avec prudence, de tirer de lui des informations sur plusieurs choses qui peut-être vous resteraient inconnues, avant que vous n'ayez vous-même établi vos confidences secrètes.
1 Vergl. S. 67—71.