Promemoria [Berlin, 10. Januar], die Regelung der Handelsbeziehungen zwischen Schlesien und der österreichischen Landen betreffend, 1 „...Comme il est de la dernière importance de couper court à ces échappatoires et d'obliger la cour de Vienne de rétablir tout de bon les choses à cet égard sur l'ancien pied, et que son empressement actuel pour terminer l'affaire des dettes de la Silésie2 fournit le seul moment favorable qu'on puisse se promettre de longtemps pour l'y engager, nous sommes d'opinion qu'il serait néces- saire de ne pas s'en dessaisir, mais de dé- clarer sans détour aux ministres autrichiens que Votre Majesté persistait inébranlablement dans la résolution de faire marcher d'un pas égal la négociation du commerce et celle des dettes silésiennes, et qu'on n'entrerait absolument en rien sur ce dernier objet, à moins que l'Impératrice-Reine ne s'expliquât sur l'autre d'une manière satisfaisante et conforme à la disposition des traités.“ | sagen, Ich hätte ihnen und dem Etatsminister Graf von Münchow verboten, sich nicht eher in eine weitere Negociation einzulassen, bis zuvor dieser Articul reguliret worden sei. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
4723. AU SECRÉTAIRE MICHELL A LONDRES.
Berlin, 12 janvier 1751.
J'ai reçu votre rapport du 29 dernier3 Je veux bien suspendre mon jugement sur la manière dont on pense en Angleterre sur l'affaire de l'élection d'un roi des Romains; la satisfaction que le roi d'Angleterre a marquée sur ma lettre que vous avez remise à ce sujet au ministre Münchhausen,4 la conviction où l'on paraît être en Angleterre d'avoir entièrement à sa disposition les voix des électeurs de Cologne et de Saxe, avec la conclusion qu'on en tire de pouvoir ainsi brusquer l'affaire de l'élection, ce sont tout des problèmes que je ne suis pas encore à même de résoudre. Quoi qu'il en soit, vous continuerez d'être bien attentif pour voir jusqu'où l'Angleterre voudra pousser sa pointe à cet égard, et les mesures qu'on voudrait prendre pour mettre en exécution le projet qu'on a médité. Tâchez de m'en faire des rapports exacts au possible et marquez-moi si l'Angleterre compte dans tout ceci la France pour rien, et si l'on croit pouvoir endormir celle-ci au point qu'elle ne se mêlera aucunement dans cette affaire, mais l'envisagera comme toutà-fait étrangère à elle.
Federic.
Nach dem Concept.
1 Vergl. S. 163 Anm. 4.
2 Vergl. S. 74.
3 Vergl. S. 215.
4 Vergl. S. 182 Anm. 1.