<271> grosse Connaissances hat, nächstens selbst zu Euch zu kommen ersuchet und Euch alsdenn mit ihm im Vertrauen concertiret, damit er auf alle Bewegungen, so etwa in dem polnischen Lithauen nach denen russischen Landen hin vorgehen könnten, ganz genau invigilire, auch Euch insonderheit gegen das kommende Frühjahr von allem avertire und deshalb eine sichere und reguläre Correspondance mit Euch unterhalte. Wobei er insonderheit Acht zu haben, ob etwa die in Kur- und Livland stehende Russen durch noch mehrere Truppen von Smolensko her verstärket werden oder auch an Kosaken oder dergleichen leichte und irreguläre Truppen noch mehrere an sich ziehen, als sie jetzo bereits dorten haben. Ihr könnet dagegen gedachten Baron von Schrötter aller Meiner Erkenntlichkeit versichern.
Ich recommandire Euch demnach alles bevorstehende bestens zu befolgen und ohnvermerket eine sehr genaue Attention auf alles gedachter Orten vorgehende zu haben, damit daselbst nichts vorgehen könne, davon Ihr nicht in Zeiten genau informiret wäret. Wie Ihr Mir dann auch davon Eure Rapports, unter Nehmung guter Präcautionen wegen solcher Eurer Briefe, zu erstatten habet.
Friderich.
Nach dem Concept.
4796. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A VIENNE.
Potsdam, 16 février 1751.
Le rapport que vous m'avez fait du 6 de ce mois, m'est bien parvenue. Mon attente est à présent d'apprendre de vous de quelle manière la cour où vous êtes a envisagé les propos que j'ai tenus à son ministre, le comte Puebla.1 Si ses intentions ne sont pas droites, je ne lui opposerai que de la candeur de ma part, afin que de convaincre tout homme raisonnable que, s'il n'y a pas eu moyen de m'entendre avec cette cour, au moins ce n'a été nullement moi qui en ai été en défaut. Vos doutes sur la véracité du rapport qui vous a été fait sur les corps que la cour de Vienne doit faire assembler en Bohême et Moravie, et sur les magasins qu'elle irait former là, m'ont paru fondés. Cependant tel que soit l'avis que vous en avez reçu, vous ne devez point le négliger; tout au contraire, comme je connais tous les mauvais desseins de la cour de Vienne contre moi et qu'il n'y a que sa faiblesse dont elle se ressent qui l'empêche de les mettre en exécution, vous devez prêter votre attention sur les corps de troupes et sur les magasins qu'elle voudra former en Moravie et Bohême. Vous m'en marquerez tout ce qui en viendra à votre connaissance, vos rapports me serviront à les comparer avec ce qui me reviendra d'autre part, et j'espère d'en tirer l'usage qui me conviendra.
Federic.
Nach dem Concept.
1 Vergl. S. 233.